29/03/2014
TAKEDA YOSHINOBU SENSEÏ
Takeda Shihan a commencé son étude de l'Aïkido en 1960 au Hombu Dojo de Tokyo avec Kisshomaru Senseï, Arikawa Senseï, Tada Senseï et Tamura Senseï. Auparavant, il avait pratiqué le Judo et le Kendo. Puis il devint élève de Seigo Yamaguchi Senseï et pratiqua avec O Senseï. Il fut bientôt reconnu comme l'un des élèves les plus doués de Yamaguchi Senseï et a été invité par son professeur à lancer son propre Dojo à la fin des années 1960.
Il est connu pour sa pratique fluide et sans effort tout en restant dynamique et puissant.
Takeda Shihan, 8° Dan, est actuellement le directeur de l'Aïkido Kenkyukai international et de la Shonan Aïkido Renmei à Kamakura, Japon, où il enseigne. Il est également membre du conseil d'administration à l'Aïkikaï Hombu Dojo à Tokyo.
SUR CE LIEN CI DESSOUS
Entretien avec Takeda Shihan
LA TRADUCTION EST DE GOOGLE MAIS SUFFISANTE POUR COMPRENDRE TOUT LE SENS.
SINON VOIR L'ENTRETIEN ORIGINAL EN ANGLAIS ci-dessous.
Interview with Takeda Shihan by Aikikai Hombu Dojo
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28/03/2014
JACQUES MUGURUZA
Jacques Muguruza, né en 1955, a commencé l'Aïkido à 13 ans. A 18 ans, il participe à un stage d'un mois au Japon, dans le dojo Yoshinkan de Shioda Senseï, avec 6 h de pratique quotidienne. Deux ans plus tard, il retourne voir SHIODA Senseï, et pratique tous les matins pendant un an au Yoshinkan en étant hébergé chez un ami français. Cet ami retournant en France, il fut convié par Shioda Senseï a devenir uchi deshi et resta quatre années auprès de son Maître, en vivant au Dojo. De 1977 à 1982, ce furent cinq années de pratique intensive, plus de six heures par jour 7j/7. En 1982, il rentre en France.
photography of Gozo Shioda avec Jacques Muguruza
Il lui fallut cinq ans pour retrouver sa place et développer le Yoshinkan dans l’Hexagone puis pour créer la Fédération Aïkido Yoshinkaï de France (A.Y.F.) afin de diffuser la vision de Shioda Senseï, héritée de son Maître Morihei Ueshiba. Jacques Muguruza est actuellement 8ème Dan, chargé de développer l’Aïkido Yoshinkan en France et dans d’autres pays d’Europe. Il enseigne régulièrement en France depuis 1982 et en Espagne depuis 1990.
LIRE L'ARTICLE SUR JACQUES MUGURUZA DU MAGAZINE
"MARTIAL" N°1 2012 DE LA PAGE 64 A 74
en cliquant sur l'image ci-dessous.
Interview Jacques Muguruza - Aïkido Yoshinkan Fédération de France
ACTUALITÉS OCTOBRE 2010
AUTRE ENTRETIEN 1/2010 D'AÏKIDOJOURNAL
JACQUES MUGURUZA
CLIQUER SUR L'IMAGE
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27/03/2014
Manuel de Jujutsu de l'école Kano à Tokyo
Réédition du 15/07/2013 Yugen éditions
Kanō Jigorō, fondateur du judo.
Ce manuscrit écrit par deux des principaux et premiers élèves de Jigoro Kano, Sakujiro YOKOYAMA et Eisuke OSHIMA, retranscrit la pensée du fondateur du Judo, assez loin de celle pratiquée actuellement où le sport l'a emporté sur la voie et le développement personnel. Paru en 1911, il fut traduit par Yves Le Prieur, un officier de Marine et un inventeur français, envoyé au Japon comme élève-interprète. Il y restera deux ans et pratiqua au Kodokan à Tokyo.
Yokoyama Sakujiro
(1864 - 1914)
La plupart des pratiquants de Judo ont entendu parler de ce manuscrit, mais pratiquement personne n'a vu cette version traduite par Le Prieur du fait de sa rareté. Cela reste un document unique, qui montre ce qu'était le Judo au temps du fondateur. Les principes de la voie sont décrits : le déséquilibre, l'utilisation de l'énergie, l'attitude juste, ainsi que le modèle d'éducation prôné par cette discipline.
A cette époque le Judo de Jigoro Kano éclipsa les différents koryu.
26/03/2014
MICHELINE VAILLANT-TISSIER
Micheline Tissier a commencé l'Aïkido en 1976, à 15 ans 1/2 au Japon à l'Hombu Dojo de Tokyo. Après ses deux mois dans le cours débutant au 1er étage, elle pratiqua dans les cours de Maître Masuda et Maître Ichihashi qui s'occupaient beaucoup d'elle, puis plus tard dans ceux de Ueshiba Senseï et de Yamaguchi Senseï.
Sa première leçon a été donnée par Christian Tissier qui était le sempaï de tous les étrangers ; il était donc également son sempaï. De retour du Japon, elle s'est mariée avec Christian Tissier et l'est restée 22 ans. Elle a commencé à enseigner en 1989 à Vincennes. En 1990, déménagement pour le Sud, suite à l'asthme de leur fils et ouverture d'un Dojo à Nice en 1997. Actuellement, elle enseigne à Puget sur Argens et Draguignan.
Micheline Tissier est la première Européenne à s'être vu décerner le grade de 6e dan Aïkikaï par le Doshu Moriteru Ueshiba .
Ci-dessous interview réalisé et écrit par Guillaume Erard
Rencontre avec Micheline Tissier 6e dan : L’aube de l’Aïkido au féminin
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25/03/2014
LE KOTO
Le koto est un instrument de musique à cordes pincées utilisé en musique japonaise traditionnelle, notamment dans le kabuki et le bunraku. Originaire de Chine (gŭzhēng), il fut introduit au Japon entre le VIIe siècle et le VIIIe siècle. Il est traditionnellement fabriqué en bois de paulownia évidé, avec les hauts chevalets amovibles, en ivoire. Le son ressemble à celui de la harpe. Le koto mesure environ 1,80m c'est une longue cithare possédant 13 cordes.
Cliquer sur les images pour agrandir
On trouve également des koto avec davantage de cordes : jūshichigen (17 cordes) ; nijūgen (20 mais 21 cordes) nijūgogen (25 cordes) ; sanjūgen (30 cordes) ; sanjūnigen (32 cordes).
Les trois interprètes suivants sont à l'origine :
Kengyo Yatsuhashi (1614-1685); Michio Miyagi (1894-1956, ) et Fumiko Yonekawa (née en 1895 et qui avait, en 1983, 185 000 heures de pratique ; elle décéda en 1995).
Michio Miyagi, un génie du koto, fut un musicien et compositeur de koto japonais né en 1894 et mort en 1956, dans un accident de train à l'âge de 62 ans. Il explorera la musique de l'Ouest et publia plus de 500 compositions. Il inventa le jyûshichigen (koto à 17 cordes). Il est connu pour son œuvre Haru no umi (« La mer du printemps », pour koto et shakuhachi).
Il existait aussi le hachijūgen (80 cordes) créé par Miyagi, mais il n'a jamais existé qu'un seul exemplaire de cet instrument et personne ne le joue aujourd'hui.
Plusieurs artistes l'ont adapté en une musique plus contemporaine.
24/03/2014
ROBERTO MARTUCCI
Roberto Martucci commence l'Aïkido en 1975 à 14 ans avec Elena Gabrielli et Hiroshi Tada shihan. 1°Dan en 1980, il suit également Nobuyoshi Tamura Shihan.
A partir de 1993, il suit l'enseignement de Christian Tissier Shihan.
Il obtient son 3°Dan en 1993 et le 4°Dan en 1999. Sa recherche le mène à suivre Seishiro Endo Shihan.
Endo Senseï lui reconnaît le 5°Dan Aïkikaï. En 2010, il est 6°Dan.
Roberto Martucci enseigne à Rome au " Aikido Kashin Rome ". Il enseigne également dans des stages en Italie et en Europe.
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23/03/2014
CONTES ET RECITS DES ARTS MARTIAUX (Albin Michel 1981) #11
Le coeur de saule
Le médecin Shirobei Akayama était parti en Chine pour étudier la médecine, l'acupuncture et quelques prises de Shuai-Chiao, la lutte chinoise.
De retour au Japon, il s'installe près de Nagasaki et se met à enseigner ce qu'il avait appris. Pour lutter contre la maladie, il emploie de puissants remèdes. Dans sa pratique de la lutte, il utilise beaucoup de force. Mais devant une maladie délicate ou trop forte, ses remèdes sont sans effets. Contre un adversaire trop puissant, ses techniques restent inefficaces. Un à un ses élèves l'abandonnent. Shirobei, découragé, remet en question les principes de sa méthode. Pour y voir plus clair, il décide de se retirer dans un petit temple et de s'imposer une méditation de cent jours.
Pendant ces heures de méditations, il bute contre la même question, sans pouvoir y répondre : "opposer la force à la force n'est pas une solution car la force est battue par une force plus forte. Alors comment faire ?"
Or, un matin, dans le jardin du temple où il se promène alors qu'il neige, il reçoit enfin la réponse tant attendue : après avoir entendu les craquements d'une branche de cerisier qui cassa net sous le poids de la neige, il aperçoit un saule au bord de la rivière. Les branches souples du saule ployent sous la neige jusqu'à ce qu'elles se libèrent de leur fardeau. Elles reprennent alors leur place intactes.
Cette vision illumine Shirobei. Il redécouvre les grands principes du Tao. Les sentences de Lao-Tseu lui reviennent en tête :
Qui se plie sera redressé
Qui s'incline restera entier
Rien n'est plus souple que l'eau
Mais pour vaincre le dur et le rigide
rien ne le surpasse
La rigidité conduit à la mort
La souplesse conduit à la vie
Le médecin de Nagaski réforme complètement son enseignement qui prend alors le nom de Yoshinryu, l'école du coeur de saule, l'art de la souplesse, qu'il apprendra à de nombreux élèves.
22/03/2014
ALAIN TENDRON
Né en 1962, Alain Tendron débute l’Aïkido en 1977, sous la direction de Guy Lorenzi. De 1984 à 1985, il suit Michel Hamon au Dojo de la Banque de France. Il passe son Shôdan le 27 mai 1984. Ce n’est qu’en août 1985 qu’il rencontre Bernard Palmier et prend la décision de suivre son enseignement dès septembre de la même année. Grâce à lui, il fait la connaissance de Christian Tissier, puis de Yamaguchi Senseï, qui lui décernera les grades de Nidan en 1988 et Sandan en 1989. En 1994, il passe le 4e Dan, en 1995, le BE. Il reprend la direction du dojo Aïkikaï Péreire en septembre 1985. Il enseigne également dès 1993 au Shoshin-Kan Dojo et dès 1994 au COLEG de Vauréal. Professionnel d’Aïkido depuis 1995, il entre au Collège technique national en septembre 1997. Il quitte la région parisienne en 1998 et s’installe à Montpellier où il dirige les cours à l’Aïkido Montpellier. En 1995, il développe le concept Ren Wa Kai, regroupant un certain nombre d’enseignants et de pratiquants qui partagent la même vision de la pratique. Il démissionne du Collège technique national en juin 2001. Aujourd’hui, il continue avec autant de passion à enseigner ce qu’il considère comme un mode d’apprentissage permanent de la vie. En Janvier 2005, Yasuno Senseï le propose au grade de 5e Dan Aïkikaï de Tokyo. Il obtient son 6e Dan de l’Aïkikaï de Tokyo en janvier 2013.
Biographie tirée du site http://www.renwakai.org
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21/03/2014
LES 47 RÔNIN
47 RÔNIN
La plus poignante de toutes les histoires qui nous sont parvenues est sans doute celle qui vit tomber dans le gouffre de la mort 47 fidèles serviteurs le 14 décembre 1702. Quarante-sept ombres se faufilent à travers les rues sombres d'Edo. La neige qui tombe lentement ne semble pas les déranger. Ils ont l'air calme, presque zen, mais dans leur cœur brûle la flamme de la vengeance. Le rassemblement se fait, ils sont prêts à faire ce qu'ils ont prévu depuis 2 ans : " Banzaï !!! " Le cri d'assaut déchire le silence... L'attaque vient de commencer.
Les quarante-sept rônin venaient d'entrer dans l'histoire. Cette histoire commence au tout début du XVIIIe siècle. Depuis 1603, le Japon est sous la domination politique et militaire des Tokugawa au titre de shogun. L'empereur, Fils du Ciel, n'a plus qu'un pouvoir religieux symbolique. Le shogun de l'époque est Tokugawa Tsunayoshi. L'empereur vient d'envoyer à Edo, auprès de lui, trois ambassadeurs afin qu'ils parlent en son nom. Afin de les recevoir comme ils le méritent, étant donné leur rang, on confia les préparatifs à deux grands seigneurs de l'époque. L'un d'eux était Asano Naganori, un très riche seigneur, à qui fut confiée la direction de la cérémonie. Il déclina l'offre en arguant son ignorance en matière d'étiquette de la cour. Après plusieurs pressions de la part des autres seigneurs, il accepta à la condition d'être aidé du maître de cérémonie officiel, Kira Yoshihisa. La coutume voulait que l'on offre un cadeau à un fonctionnaire lorsqu'on lui demandait un service. On conseilla donc à Asano de ne pas être avare envers le vieux courtisan. Mais Asano avait été élevé dans le principe droit du Confucianisme et refusait de donner à un fonctionnaire de l'État plus de cadeaux que son rang n'en méritait. C'était, selon lui, le devoir de Kira de lui donner les informations nécessaires. Malheureusement, Asano ne connaissait pas les usages d'Edo, ni la mentalité corrompue des grands de l'époque. Il ne donna qu'un présent symbolique à Kira. Celui-ci le prit très mal et se rendit indisponible pour Asano. Lorsque les ambassadeurs arrivèrent à Edo, Asano réussit à se débrouiller pour ne pas perdre la face. Mais vint le moment où il fallut qu'il fasse acte de présence devant les ambassadeurs. Il trouva Kira et lui demanda ce qu'il devait faire. Celui-ci lui répondit : "- Vous auriez dû vous occuper de cela avant. Maintenant, je n'ai plus le temps". Il murmura en plus, ce qui fut la goutte qui déborda du vase: "- Une bonne médecine est toujours amère". Asano n'en revenait pas ! Kira venait de l'insulter en public ! Fou de rage, il dégaina son wakisashi et donna, semble-t-il, un coup si subtil que Kira ne le sentit même pas et le hakama de ce dernier tomba sur le sol.
Kira cria pour qu'on vienne à son aide. Un autre coup de sabre lui fendit la bouche ouverte et des flots de sang vinrent étouffer son appel. On maîtrisa Asano et on informa le shogun de la situation. Tirer la lame dans le palais du shogun était en soi un acte grave.
Répandre le sang l'était plus encore. Asano fut " invité " par le shogun à se faire seppuku au coucher du soleil. Ses terres furent confisquées et ses vassaux dispersés... ou presque. Des 200 vassaux d'Asano, 47 décidèrent de rester fidèles à leur maître et de le venger de l'affront que lui avait fait Kira, ce qui était leur devoir le plus sacré. Pour cela, ils résolurent de se faire oublier pendant 2 années, années pendant lesquelles ils furent la honte des guerriers : certains se convertirent au lucre, d'autres devenaient alcooliques, certains même faisant la manche se faisaient rouer de coups par les plus déçus et colériques des samouraïs. En fait, ils préparaient leur vengeance sous le couvert de la honte. À leur tête, le doyen des samouraïs d'Asano, Oishi Kuranosuke organisa et orchestra une vengeance soigneusement préparée tout en se cachant sous un masque de fêtard sans honneur. En grand secret, ils se firent fabriquer des armes et des armures spécialement pour l'occasion.
Alors que presque tout le monde les avait oubliés, ils surgirent devant la maison de Kira à Edo et passèrent à l'attaque en vrais samouraïs : le sabre à la main et la rage au cœur. Les voisins de Kira furent réveillés par l'attaque, mais personne ne s'en mêla : ils savaient ce qui se passait et c'était une affaire d'honneur.
Les serviteurs de Kira furent presque tous massacrés, samouraïs de garde comme domestiques. Les rônin cherchèrent Kira partout dans sa maison avant de le trouver caché sous une pile de vêtements sales.
Ils sommèrent Kira de se faire seppuku comme un homme d'honneur. Devant le refus de ce dernier, Oishi le décapita.
Les 46 rônin restants (l'un d'eux était mort durant la bataille) allèrent déposer la tête de Kira sur la tombe d'Asano pour lui rendre hommage. Leur maître était vengé. Ensuite, ils se constituèrent prisonniers et se rendirent aux autorités d'Edo. Leur acte fut admiré de tous et le peuple d'Edo les considéra comme des héros. Même le shogun admira leur courage. Le conseil shogunal se demanda ce qu'il allait faire d'eux. On ne pouvait les condamner à mort comme des chiens, car ils avaient fait ce qu'on leur avait enseigné depuis l'enfance. On ne pouvait les laisser libres, car cela pourrait entraîner d'autres cas de vengeance.
La décision tomba le 1er février 1703. Ils avaient vécu en samouraïs, ils allaient mourir comme tels dans la dignité et l'honneur. Ils reçurent l'ordre de se faire seppuku, geste qu'ils étaient tous prêts à faire depuis le début. Leur suicide fut exemplaire. Seul le plus jeune fut épargné (16 ans) et reçu l'ordre d'honorer et de s'occuper toute sa vie de la tombe de ses frères d'arme. Encore de nos jours, l'histoire des quarante-sept rônin frappe l'imagination du peuple nippon. Bien que leur acte dénote un profond romantisme, il n'en reste pas moins qu'ils sont les représentants d'un trait culturel et d'un code d'honneur unique. On peut encore admirer leur tombe au temple Sengaku-ji à Tokyo. Leur acte a été fait dans la plus pure tradition du bushido : le dévouement le plus total envers son seigneur et maître. L'adage dit: "Tu ne vivras pas sous le même ciel, ni ne foulera le même sol que l'ennemi de ton père ou de ton seigneur" (Confucius). Cet adage, dans le cas des 47 rônin, fut respecté à la lettre...
Tombes des 47 rōnin au temple Sengakuji.
histoire tirée du site : gctm.free.fr
Beaucoup plus d'informations sur cette histoire sur ce lien
en cliquant sur l'image ci-dessous
20/03/2014
JEAN-FRANCOIS PERRIN
Beaucoup de hauts gradés actuels ont connu Jean-François Perrin lors de leurs séjours au Japon .
Jean-François PERRIN débute l’Aïkido en 1969 à Tokyo où il séjournera 25 ans (du 20 septembre 1969 au 22 décembre 1994). Il a eu l'occasion durant cette période d'étudier auprès de Maître Seigo YAMAGUCHI ainsi qu'auprès d'autres Maîtres réputés comme Michio HIKISUTCHI ou Morihiro SAITO. Il obtint son 6ème DAN de Maître Seigo YAMAGUCHI le 12 Janvier 1992 à l'AÏKIKAÏ. Il s'installe à Antananarivo en janvier 1995. Il accepte de donner un enseignement dans une association (FFA - Fikambanana ho amin'ny Fivelaran'ny AIKIDO) au Dojo de l'ESCA-Antanimena pendant 5 ans. En 2000, il part à Antsiranana et crée avec l'aide d'amis une nouvelle section d’Aïkido qui compte aujourd'hui plus de 122 membres.
Il décède à Saint-Raphaël le dimanche 30 mars 2008.
BIOGRAPHIE tirée du site aïkidomadagascar
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