18/04/2014
MITSUNARI KANAI
photo by B Arruda, Portland aïkido
Kanai Mitsunari Senseï est né en Mandchourie, le 15 Avril 1939. Son père était un policier travaillant pour le chemin de fer de Mandchourie. Après la guerre, la famille est retournée au Japon d'abord dans la préfecture d'Ibaraki, puis à Tokyo, où son père est devenu un employé de bureau et a enseigné la calligraphie aux enfants du quartier.
Jeune, Kanai Senseï a pratiqué le Judo, mais plus tard, il estima qu'il lui manquait quelque chose dans sa pratique. Il travailla dans une entreprise de machines à écrire, tout en suivant des cours du soir d"Allemand et d'étude du Japonais ancien. Cette période très chargée entre les études et le travail lui fit prendre conscience de ce qu'il voulait vraiment faire dans sa vie : étudier le budo, la voie martiale traditionnelle du Japon.
Il connaissait déjà l’Aïkido depuis les années 50, où il vit une démonstration d'O Senseï avec Nobuyoshi Tamura comme uke à la télévision et cela restait gravé dans son esprit. Il eut entre les mains le livre de Kisshomaru Ueshiba et cela l'inspira profondément.
Mitsunari Kanai quitta son travail et se présenta au Hombu Dojo de devenir un uchi deshi. Les temps étaient durs et il était impossible de subvenir financièrement à la venue d'un autre uchi-deshi. Malgré cela, il revint chaque jour et commençait par nettoyer les bâtiments avant le réveil des autres élèves. Finalement il fut accepté comme uchi deshi. Il a étudié avec O Senseï pendant environ huit ans, d'abord comme étudiant résidant, et en externe en venant au dojo pour les classes, tout en enseignant l'Aïkido dans d'autres endroits.
En 1965, Kanai fut envoyé par le Hombu Dojo à Boston suite à une demande écrite d'un groupe d'étudiants d'arts martiaux.
Yoshimitsu YAMADA, arrivé deux ans plus tôt à New York, l'accueillit à son arrivée.
Les premières années furent difficiles à la fois financièrement et culturellement. Il décida de créer un Dojo, dont l'exigence technique et morale était très élevée. Il fonde le New England Aïkikaï de l’État du Massachusetts à Cambridge en 1966 .
1er Dojo, Boston, 1966.
Il délivra seulement 9 ceintures noires pendant les 11 premières années. Finalement, les étudiants commencèrent à venir. Près de six mille étudiants ont étudié à son Dojo durant ses 38 années de présence.
Il étudia également le Iaïdo à partir de 1960. De plus, il devint un expert dans la forge des lames et tsubas. À la fin des années 70, il commença à enseigner le Iaïdo à un petit groupe d'étudiants, et finalement à donner des séminaires réguliers, y compris à la fois l’Aïkido et le Iaïdo à quelques Dojos, y compris ceux de Montréal et de Toronto.
Avec Yoshimitsu YAMADA et Akira TOHEI, arrivé à Chicago en 1972, ils développent l’Aïkido dans l’Est des États-Unis. En 1976, ils créent la Fédération d’Aïkido des États-Unis (USAF) avec pour siège principal le New York Aïkikaï. KANAI Senseï s'occupe de la région Est de l’USAF. Chiba Senseï arrive aux États-Unis en 1981 et s'installe à San Diego.
Kanai Mitsunari était aussi un calligraphe reconnu.
Il a pratiqué son art à la manière traditionnelle: en soulignant sa pureté technique et philosophique, sans se soucier de ses aspects commerciaux. Aïkido était son monde.
Mitsunari Kanai Shihan est décédé le 28 Mars 2004 d'une crise cardiaque à Toronto, au Canada, où il avait enseigné un séminaire.
TOKYO 1962, MITSUNARI KANAI.
site NEW ENGLAND AIKIKAI
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17/04/2014
YAMAGUCHI SEIGO ... II
Il y a déjà une note sur Yamaguchi Senseï ( ICI ). Cette nouvelle note est simplement là pour rajouter quelques vidéos et quelques informations de ce Maître qui fut l'inspiration de la plupart des hauts gradés de la FFAAA.
Christian Tissier, Franck Noel, Bernard Palmier, Philippe Gouttard, Bruno Zanotti, Philippe Grangé... et bien d'autres
SON PARCOURS : CLIQUER SUR L'IMAGE CI-DESSOUS
CLIQUER SUR News : Seigo Yamaguchi Senseï
POUR LA SUITE DE SA BIOGRAPHIE, ALLER SUR LES FLÈCHES EN BAS A DROITE POUR DÉFILER
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16/04/2014
KAGEMUSHA
Kagemusha, l'ombre du guerrier est un film américano-japonais réalisé par Akira Kurosawa, sorti en 1980.
L'intrigue se déroule dans le Japon féodal, au 16ème siècle. Des guerres incessantes opposent le clan Takeda à deux autres clans (Nobunaga et Tokugawa) pour le contrôle du Japon.
Shingen Takeda,chef du clan Takeda ambitionne de prendre Kyōto ,la capitale à l'époque afin de dominer tout le pays. Le frère de Shingen, Nobukado, a trouvé un voleur ressemblant étonnamment à Shingen Takeda et compte en faire le double de son frère. Shingen Takeda est mortellement blessé lors du siège du château de Noda appartenant à Tokugawa Ieyasu. Avant de mourir, il dit à ses généraux de ne pas dévoiler sa mort avant trois ans et de conforter leurs positions pendant ce temps. Kagemusha prend donc sa place et réussit à jouer son rôle à la perfection en mémoire du chef de clan décédé. Lors d'un conseil avec les généraux et les notables, il réussit à faire illusion en adoptant une des devises du clan, correspondant à Shingen Takeda à savoir l'immuabilité, la force de la montagne... et donc en réponse à une question de son fils, il ordonne de ne pas bouger, de ne pas attaquer l'ennemi.
Lorsque Tokugawa Ieyasu et Oda Nobunaga lancent une attaque contre le territoire des Takeda, le fils de Shingen, Katsuyori Takeda, lance une contre-attaque malgré l'avis des autres généraux. Le Kagemusha doit conduire des renforts à la bataille de Takatenjin, et par son exemple il obtient la victoire pour ses troupes.
L'imposture finit par être démasquée quand la doublure essaie de monter le cheval que seul Shingen Takeda parvenait à maîtriser. Il est alors chassé du château.
Katsuyori Takeda lance la cavalerie et l'infanterie des Takeda, malgré l'avis de son père, contre Oda Nobunaga, à la bataille de Nagashino, où ceux-ci sont décimés. Kagemusha voyant cela se lance dans la bataille et meurt durant son dernier acte de loyauté...
Ce film obtient la Palme d'or du Festival de Cannes en 1980.
Kagemusha, l'ombre du guerrier Bande-annonce VO
SOURCES PHOTOS 1,2,11 allocine
15/04/2014
PHILIPPE LEON
Philippe Léon comptabilise derrière lui 40 ans de pratique de cet art martial. Il a commencé à 14 ans, en 1968, pour être actuellement, 6e dan Aïkikaï .
Pour son parcours, il a étudié cet art avec un certain nombre d'enseignants dont les principaux sont Morihiro Saito, 9e Dan Aïkikaï (élève interne dans le dojo d'Iwama au Japon), André Nocquet, 8e Dan Aïkikaï (assistant pour ses stages nationaux et internationaux), Christian Tissier, 7e Dan Aïkikaï. Pour s'imprégner davantage de cet art, il a fait des voyages réguliers au Japon depuis 1981. Il a acquis ses Dan petit à petit à force de persévérance. Un 1er Dan en 1972 , le 2e Dan en 1974, le 3e Dan en 1978, le 4e Dan en 1984, le 5e Dan en 1995 et le 6e Dan en 2002. Il est Délégué Technique Régional FFAAA, pour la Région Aquitaine.
AÏKIMAG JUIN 2005 "ENTRETIEN AVEC PHILIPPE LÉON"
Cliquer sur l'image pour accéder à l'article
VIDÉOS DU SITE DU CLUB DE PESSAC" AIKINAGE" où ENSEIGNE PHILIPPE LÉON
Biographie par Anny Andrianaivonirina Madagascar http://fr.allafrica.com
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14/04/2014
ALAIN VERDIER
Alain Verdier est né en 1942. En 1967, il débute l’Aïkido à Clermont-Ferrand avec Gérard Blaize. Il continua à Paris toujours avec lui ainsi qu'avec F Emeriau, un élève proche de Noro Senseï, puis en 1976 avec Christian Tissier de retour du Japon et quelques années plus tard, Franck Noël. Déjà, le contact avec l'Aïkikaï était noué avec la venue régulière de Seigo Yamaguchi. C'est en 1984, à trente-deux ans qu'il part pour le Hombu Dojo. A l'Aïkikaï, il suivit Kisshomaru Ueshiba, Moriteru Ueshiba, Osawa Senseï, Ichihashi Senseï, Masuda Senseï et bien sûr Yamaguchi Senseï ainsi que Endo Senseï et Yasuno Senseï, puis Shibata Senseï pour trouver une technique plus carrée. Son séjour dura un peu plus d'un an.
Il est actuellement 6°Dan d’Aïkido (membre du Collège Technique de la FFAAA).
Il enseigne vers Bordeaux, Campus Aïkido, Dojo Salle Félix, Rue Jean Iriquin
33400 Talence.
ENTRETIEN 2003 AVEC ALAIN VERDIER
" L’EXPÉRIENCE TRANQUILLE"
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13/04/2014
CONTES ET RECITS DES ARTS MARTIAUX (Albin Michel 1981) #13
L'IMAGE D'ASARI
Maître Yamaoka Tesshu
A l'âge de 27 ans, Yamaoka Tesshu, qui était déjà un expert de sabre réputé, combattit avec Asari Matashichiro, lui aussi sabreur célèbre. Cette rencontre fut brève car Asari désarma rapidement son jeune adversaire. Bouleversé Yamaoka connut une détresse sans borne parce qu'il réalisa combien il manquait de maturité spirituelle. Motivé par cette rencontre, il redoubla d'efforts pour se consacrer entièrement à l'entraînement au Kenjutsu (Art du sabre) et à la méditation (Zazen). Désirant mettre à l'épreuve le niveau qu'il avait atteint après dix ans de cette pratique intensive, il rencontra de nouveau Asari. Au cours de ce second combat, il sentit combien son adversaire le dominait
et, paralysé par la maîtrise qui se dégageait d'Asari, il refusa de poursuivre le combat et reconnut sa défaite.
Maître Asari Matashihiro
Cette nouvelle rencontre l'impressionna tant qu'il fut désormais hanté par l'image d'Asari, image obsédante qui lui rappelait sans cesse sa médiocrité. Loin de se résigner, il intensifia sa pratique du sabre et de la méditation. Sept années passèrent quand, après une forte expérience spirituelle, il constata soudain que l'image d'Asari avait cessé de le tourmenter. Il décida alors de se mesurer une nouvelle fois à lui. Asari le fit d'abord combattre avec l'un de ses élèves mais celui-ci s'avoua vaincu dès le début du combat. Yamaoka rencontra alors Asari pour la 3ème fois. Les deux hommes se firent face un long moment, se jaugeant du regard. Soudain, Asari abaissa son sabre et déclara : " Vous y êtes, vous êtes enfin sur la Voie."
Maître Yamaoka Tesshu
source :http://munndialarts.com et contes et récits des arts martiaux de Chine et du Japon(Albin Michel)
12/04/2014
SHINGEN-KO FESTIVAL
Ce festival se produit chaque année à Kofu pour honorer Takeda Shingen, le célèbre chef de guerre de l'ère Sengoku. Le festival commence le 1er week-end d’Avril.
Le festival de cette année a eu lieu du 4 Avril au 6 Avril 2014.
il n'y a pas encore de photos de cette édition 2014 mais je posterai dés qu'il y en aura. En attendant, voici quelques photos d'éditions antérieures.
POUR AGRANDIR CLIQUEZ SUR LES PHOTOS
photos:http://traveljapanblog.com,http://www.ocf.berkeley.edu,http://www.goldenjipangu.com
Le vendredi autour de 17h00 au château de Maizuru, il y a un concours pour déterminer qui représentera l’épouse de Shingen dans le défilé le jour suivant.
Le vendredi : il y a des stands de nourritures et des jeux au château, dans le centre ville à Orion et la route de Ginza, aussi bien qu’à quelques autres endroits.
Le festival reprend le lendemain autour de 10h00. Il y a des événements au Takeda Jinjya l’après-midi et un défilé commençant devant la station de Kofu autour de 17h00. Le point culminant de la fête est ce défilé de l'armée Takeda, comprenant des citoyens locaux vêtus de costumes authentiques, les célèbres vingt-quatre généraux de Shingen et plus de 1 500 guerriers marchant avec des torches.
C’est le grand festival de Yamanashi.
Yamanashi a été fondée par Takeda Shingen. Un de ses hauts faits d'armes fut sa victoire sur Tokugawa Ieyasu à la bataille de "Mikata ga hara". Il entra dans la bataille à cheval surprenant Ieyasu Tokugawa.
On utilise le mot Fuurinkazan composé du kanji pour le vent, la forêt, le feu, et la montagne afin de décrire Shingen et ses techniques de combats. Il est dit que Takeda Shingen se déplaça comme le vent, mais aussi calme que la forêt avant d'entrer dans la bataille comme un grand feu tout en gardant une position forte comme les montagnes.
Sa devise était:
Rapide comme le vent,
Silencieux comme la forêt,
Destructeur comme le feu,
Immuable comme la montagne.
Bataille de Mikata-Ga-Hara
Shingen était servi loyalement dans la guerre par ses célèbres "vingt-quatre généraux."
24 généraux de Takeda Shingen.
Aujourd'hui, une grande statue de Shingen se situe à l'entrée sud de la gare de Kofu.
43°SHINGEN-KO FESTIVAL 2014
Le film Kagemusha par Akira Kurosawa (1980) a aussi été inspiré par sa vie. A suivre dans une
prochaine note.
http://www.yamanashi-kankou.jp
11/04/2014
SHOJI SEKI
Maître Shoji SEKI est né le 6 mars 1950, à Yamagata (Japon). Après avoir obtenu un diplôme de l’industrie technologique de l'Université de Musashi, il fut admis en 1973 comme professeur assistant à l'Aïkikaï de Tokyo.
Il a commencé à la fin des années 1960. Sa technique est rapide et précise. Seki Senseï répète la technique qu'il démontre de nombreuses fois, et il est possible de saisir les subtilités de ses mouvements par l'observation attentive.
Il fut influencé par le second Doshu, Kisshomaru Ueshiba et Osawa père, Kisaburo Osawa Senseï.
ll est aujourd'hui l'un des principaux collaborateurs du Doshu Moriteru UESHIBA et il jouit d'une grande notoriété tant au Japon qu'à l'étranger. Le Hombu Dojo le délègue pour diriger des stages un peu partout dans le monde, États-Unis, Brésil, Russie, Pologne, Israël, Argentine, Pérou, Lituanie, etc.
Par sa rigueur et sa volonté de transmettre la tradition de l'Aïkido telle qu'elle est enseignée au Hombu Dojo de Tokyo, il est l'un des représentants les plus renommés du Hombu. Il enseigne avec pédagogie un Aïkido fondamental dans le respect des principes et des bases édictées par Maître UESHIBA.
En Janvier 2014, il a été promu 8e Dan Aïkikaï par le Doshu Moriteru UESHIBA.
HIROSHI TADA SHIHAN AU SECOND PLAN
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SHOJI SEKI INTERVIEW "LE CONTRAT DE CONFIANCE"
SHOJI SEKI "L’ÂME ET LE CORPS DE UKE"
STAGE ÉTÉ 2014 BOULOURIS
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10/04/2014
TAKANORI KURIBAYASHI
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09/04/2014
SHAKUHACHI
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Le shakuhachi est un des instruments très populaires au Japon, faisant partie de la tradition japonaise.
Instrument à vent, le shakuhachi, aussi appelé « flûte de bambou » : c'est une flute droite à embouchure libre faite d'un épais bambou à plusieurs nœuds, en général sept dont l'intérieur est laqué.
Utaguchi en forme de croissant à gauche caractéristique de l’école Tozan et en forme de triangle à droite pour l’école Kinko
L’instrument présente cinq trous, dont un à l’arrière. La longueur normale du tuyau est de 54,5 cm. Il existe différentes tailles avec un son adapté à la taille, une flûte petite aura un son plus clair tandis qu'une flûte plus longue aura un son plus grave.
Le joueur de shakuhachi souffle dans son instrument comme on soufflerait dans le goulot d’une bouteille vide.
Instrument très simple, il est d'autant plus difficile à maitriser, mais il comporte une richesse incroyable de timbres se dévoilant avec la finesse de la pratique.
C'est au XIIIe siècle que le Shakuhachi de l'école Fuke fut introduit de Chine au Japon par le grand maître Hottô. Au départ, c'était un instrument religieux, puis il passa aux moines-guerriers, moines bouddhistes pèlerins appelés Komusô (ils portaient un panier un panier de paille sur la tête, manifestant l'absence d'ego).
Ils étaient connus pour leurs morceaux solo de shakuhachi. Ces pièces, appelées honkyoku ("pièces originales") étaient jouées pendant une pratique méditative appelée suizen, pour aumône, comme méthode pour atteindre l'illumination.
En 1871, sous l'ère Meiji (qui débuta en 1868), l'ordre Fuke fut démantelé pour son implication et son rôle actif dans le gouvernement des Tokugawa.
C'est à partir de cette époque que le Shakuhachi se démocratisa dans les classes bourgeoises citadines de la société via les récitals donnés en public.
Traditionnellement associé au koto et au shamisen dans le cadre des musiques du Bunraku (théâtre de marionnettes), il dépasse aujourd’hui le cadre des arts traditionnels japonais pour être utilisé en jazz ou en musique contemporaine.
Il avait le titre de trésor national vivant, décerné par l'Empereur. Il était le maître de la branche Chikumeisha, membre de l'école Kinko ryu.
Il fut l'élève de Shiro Yamaguchi.
Plus d'informations en cliquant sur ce lien :
Le shakuhachi > Une histoire exceptionnelle
sources wikipédia et http://www.lamediatheque.be