20/06/2014
Nobuyuki WATANABE
Nobuyuki Watanabe est né en 1930 à Miyazaki, dans l'ile de Kyushu, au Japon.
Il a pratiqué le Judo étant adolescent.
Il a commencé l’Aïkido à 22 ans puis est entré en 1958 au Hombu Dojo et est devenu Uchi deshi en 1960. Il a donc étudié avec O Senseï quand celui ci était à l'Aïkikaï Hombu Dojo .
Il est connu pour développer une notion de l'Aïkido qui est basée sur l’extrême dans l'harmonie avec le partenaire, sur le sens de l'aspiration. C'est un Aïkido controversé, pourtant certains Maîtres y voient un idéal dans l'Aïkido.
Depuis 1986, il est invité en Allemagne où un groupe s'est formé pour suivre son enseignement dans l'association Ken Bu Kan Dojo. Depuis 2005, l'organisation des séminaires a été transférée au Bu Kai Ken . Le Ken Bu Kai est une organisation parapluie regroupant les nombreux Dojos d’Aïkido en Allemagne, en Autriche et en Suisse.
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Watanabe Shihan est un spécialiste en ostéopathie .
Comme le dit Thomas Witty dans la préface du livre sur WANATABE Senseï :
"Dans l'esprit du fondateur Ueshiba Morihei, Watanabe Shihan a fait compréhensible de manière exhaustive la nature particulière de l'Aïkido comme un moyen de développer en permanence le corps et l'esprit en accord avec la nature et l'énergie de l'univers, et a ainsi ouvert la porte à ce chemin sans frontières pour de nombreuses personnes."
Actuellement 8°Dan, il fait partie des derniers uchi deschi du fondateur. Il a enseigné jusqu'à sa 80ème année en tant que Shihan à Aïkikaï Hombu Dojo à Tōkyō .
Ses démonstrations de KOKYU, sans contact, sont toujours source de dérision et d'incompréhension pour certains, mais cela me rappelle aussi quand on évoque le mot spiritualité, où l'on sent souvent un rictus amusé de la part de certains. Ce que l'on ne connait pas ou qu'on ne comprend pas fait souvent cet effet, est-ce une protection mise en place par notre ego ??? Selon le niveau de uke, cette recherche d'harmonisation des deux énergies peut conduire à ce qui nous semble incompréhensible et risible parfois, mais à l'aboutissement d'un processus hautement probable et à approfondir !
44e All Japan Aikido démonstration en 2003
ARTICLES A LIRE EGALEMENT:
Watanabe Nobuyuki, le Jedi de l'Aïkikaï - Budo no nayami
Pas touche aux projections à distance! - Guillaume Erard
Entretien avec Nobuyuki Watanabe Shihan , Partie 1
Entretien avec Nobuyuki Watanabe Shihan , Partie 2
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19/06/2014
CONTES DES ARTS MARTIAUX
Le moine et le Samouraï.
Un jeune moine se rendait en ville, porteur d’un pli important à remettre en mains propres à son destinataire. Il arrive aux abords de la ville et, pour y pénétrer, doit traverser un pont. Sur ce pont se tenait un Samouraï expert dans l’art du sabre et qui, pour prouver sa force et son invincibilité, avait fait le vœu de provoquer en duel les 100 premiers hommes qui traverseraient ce pont. Il en avait déjà tué 99. Le petit moine était le centième. Le Samouraï lui lança donc un défi. Le moine le supplia de le laisser passer car le pli qu’il portait était d’une grande importance.
"Je vous promets de revenir me battre avec vous une fois ma mission accomplie."
Le Samouraï accepta, et le jeune moine alla porter sa lettre. Mais avant de retourner sur le pont, il se rendit chez son Maître pour lui faire ses adieux, certain qu’il était perdu.
" Je dois aller me battre avec un grand Samouraï, lui dit-il, c’est un champion de sabre et moi je n’ai jamais touché une arme de ma vie. Je vais donc être tué..."
"En effet, lui répondit son Maître, tu vas mourir car il n’y a pour toi aucune chance de victoire, tu n’as donc plus besoin d’avoir peur de la mort. Mais je vais t’enseigner la meilleure façon de mourir : tu brandiras ton sabre au dessus de ta tête, les yeux fermés, et tu attendras. Lorsque tu sentiras un froid sur le sommet de ton crâne, ce sera la mort. A ce moment seulement, tu abattras les bras. C’est tout..."
Le petit moine salua son Maître et se dirigea vers le pont où l’attendait le Samouraï. Ce dernier le remercia d’avoir tenu parole et le pria de se mettre en garde. Le duel commença. Le moine fit ce que son Maître lui avait recommandé. Tenant son sabre à deux mains, il le leva au dessus de sa tête et attendit sans bouger. Cette attitude surprit le Samouraï car la posture qu’avait prise son adversaire ne reflétait ni la peur ni la crainte. Méfiant, il avança prudemment. Impassible, le petit moine était concentré uniquement sur le sommet de son crâne.
Le Samouraï se dit : "Cet homme est sûrement très fort, il a eu le courage de revenir se battre avec moi, ce n’est certainement pas un amateur."
Le moine toujours absorbé, ne prêtait aucune attention aux mouvements de va-et-vient de son adversaire. Ce dernier commença à avoir peur : "C’est sans aucun doute un très grand guerrier, pensa-t-il, seuls les maîtres de sabre prennent dès le début d’un combat une position d’attaque. Et en plus, lui, il ferme les yeux."
Et le jeune moine attendait toujours le moment où il ressentirait ce fameux froid au sommet de sa tête. Pendant ce temps le Samouraï était complètement désemparé, il n’osait plus attaquer, certain au moindre geste de sa part d’être coupé en deux. Et le jeune moine avait complètement oublié le Samouraï, attentif uniquement à bien appliquer les conseils de son Maître, à mourir dignement.
Ce furent les cris et les gémissements du Samouraï qui le ramenèrent à la réalité : "Ne me tuez pas, ayez pitié de moi, je croyais être le roi du sabre, mais je n’avais jamais rencontré un Maître tel que vous. S’il vous plaît, s’il vous plaît, acceptez moi comme disciple, enseignez moi vraiment la Voie du sabre..."
tiré de http://shotokancrsa.com/samourai-histoires.htm
18/06/2014
Risuke Otake
Né le 10 mars 1926, connu sous le titre honorifique : Ōtake Risuke Minamoto no Takeyuki. Il est le Maître instructeur de la Tenshin Shōden Katori Shintō-ryū, qu'il étudia en tant que disciple auprès du précédent Shihan, Hayashi Yazaemon Senseï (1892-1964). Il commença son apprentissage à l'âge de 16 ans, en 1942. En 1967, Otake Senseï reçu le Gokui-kaiden, titre qui représente le niveau de maîtrise et de compréhension le plus élevé de la tradition. Étant le seul à avoir reçu le Gokui-kaiden parmi tous les élèves, il devint naturellement le nouveau Maître instructeur de l'école.
Quand le Katori Shintō-ryū fut désigné comme Patrimoine Culturel intangible en 1960, il fut désigné en tant qu’un des Gardiens officiels du ryū
Il vit et enseigne dans une petite localité située à la campagne près de la ville de Narita, dans la préfecture de Chiba, dans son Dojo, le Shinbukan, ouvert en 1964.
Il est l'auteur de plusieurs ouvrages, dont notamment « Katori Shinto-ryu : Warrior Tradition »,
ainsi que de trois ouvrages plus récents traitant de la tradition de l'école, nommés « The Deity and the Sword : Katori Shinto Ryu », disponibles en français sous le titre « Le sabre et le divin ».
SOURCE WIKIPEDIA
AUTRES VIDEOS
http://www.youtube.com/watch?v=y9szW_z40_8
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17/06/2014
Lilou Nadenicek
Il est difficile de trouver des informations sur Lilou Nadenicek, ce pratiquant discret et compétent.
Arrivé au Japon dans les mêmes années que son ami Christian Tissier,
Il côtoie là-bas entre autres, Jean François Perrin, Alain Guerrier, Christian Tissier, Franck Noël, Gérard Sachs.
Cet ancien champion de l'équipe de France de Karaté restera plus de six ans en pratiquant au HOMBU DOJO de l'Aïkikaï.
En parallèle, il pratique le Karaté de style Shotokan et le ken jutsu.
Après le Japon, il partit étudier le Muay-thaï en Thaïlande.
Actuellement 6°Dan Aïkikaï
Il pratique dans son Dojo à Marseille, le KIAI CLUB, dans le cadre de la ligue de Provence FFAAA.
Il est membre du collège technique de la FFAAA.
DÉMONSTRATION AÏKIDO LILOU NADENICEK 1989
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16/06/2014
SHI DE JIAN... Maître et moine Bouddhiste Shaolin
Shi Dejian est aujourd'hui l'un des Maîtres de Shaolin les plus respectés.
Shi Dejian est né dans une famille pauvre de paysans dans la province du Heilongjiang dans le nord de la Chine, limitrophe de la Mongolie et de l'ancienne Union soviétique. Il a commencé le kungfu à 14ans, puis à 19 ans il est entré à SHAOLIN. Il a étudié avec les Maîtres Guiwu Yang, Chou Huibao, ainsi qu'avec le Maître Zhang Qinghe. Zhang était très strict dans la transmission de la médecine de Shaolin.
Les trois trésors de Shaolin,: chan (zen bouddhisme), wu (arts martiaux) et yi (médecine chinoise) ", sont un, tous ces aspects doivent grandir ensemble dans le même temps.
Selon Dejian, "Chan cultive l'esprit. Wu renforce le corps. Yi assiste le monde. Ces trois ne peuvent être séparés. Si vous comprenez la théorie Chan, vous pouvez progresser dans votre médecine et atteindre la guérison. Si vous coordonnez ces éléments, votre Kungfu évoluera."
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15/06/2014
SUMI-E
Paysage . Shūbun.
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Le sumi-e , signifiant « peinture à l’encre »ou suiboku-ga « image à l’eau et à l’encre » est un mouvement de la peinture japonaise originaire de Chine et dominant à l’époque de Muromachi.
Ce courant se caractérise par l’usage du lavis à l’encre noire, de la prédominance du paysage comme sujet. Il est inspiré et imprégné de la pensée du bouddhisme zen.
Le lavis est une technique consistant à n'utiliser qu'une seule couleur (à l'aquarelle ou à l'encre de Chine). Les nuances et intensités proviennent du dosage de la dilution. Cette technique originaire de Chine du VI°siècle est réputée par les paysages de la dynastie Song. Elle apparaît au Japon aux alentours du VIIIe siècle, grâce à l'influence du zen, dans la recherche de la pureté du trait et du dépouillement, ainsi qu'aux grands Maîtres comme Josetsu, Shūbun ou Sesshū.
Le vide laissé par le relâchement du pinceau crée la puissance de l’œuvre.
Comme la calligraphie, cette technique ne permet pas de reprise, pas de retour en arrière.
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Paysage des quatre saisons par Tenshō Shūbun
L'extrait suivant décrit bien ce qu'est cet art, il est puisé dans art-zen.com
"...Le véritable style sumi-e est reconnaissable encore aujourd’hui à la rapidité et sobriété de son exécution, rappelant l’instantanéité de l’éveil recherché notamment dans le bouddhisme. Mais cette aisance laisse deviner une profonde capacité d’observation pour être d’abord capable de représenter les choses avec la plus grande vraisemblance et authenticité.
Depuis des siècles, le peintre tch’an ou sumi-e cherche à reproduire “l’esprit des choses” avec économie, rapidité et dextérité dans une atmosphère plus suggestive que détaillée."
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gregory cortecero
14/06/2014
CONTES ET RECITS DES ARTS MARTIAUX (Albin Michel 1981) #14
L'incroyable Chi
Un Maître du combat à main nue enseignait son Art dans une ville de province. Sa réputation était telle dans la région qu'il défiait toute concurrence : les pratiquants boudaient tous les autres professeurs. Un jeune expert voulut en finir de ce monopole, de ce règne. L'expert se présenta à l'école, un vieillard lui ouvrit la porte. Sans hésiter le jeune homme annonça son intention. Le vieil homme, visiblement embarrassé, tenta de lui expliquer combien cette idée était suicidaire, étant donné la redoutable efficacité du Maître. Pour impressionner ce vieux radoteur qui semblait douter de sa force, l'expert s'empara d'une planche et, d'un coup de genou, il la cassa en deux. Le vieillard demeura imperturbable. Le visiteur insista à nouveau pour combattre avec le Maître, menaçant de tout casser. Le vieux bonhomme le pria alors d'attendre et il disparut. Quand il revint peu après, il tenait à la main un énorme morceau de bambou. Il le tendit au jeune en lui disant : "- Le Maître a l'habitude de casser avec un coup de poing des bambous de cette taille. Je ne peux prendre au sérieux votre requête si vous n'êtes pas capable d'en faire autant." S'efforçant de faire subir au bambou le même sort que la planche, le jeune présomptueux dut finalement renoncer, épuisé, les membres endoloris. Il déclara qu'aucun homme ne pouvait casser ce bambou à main nue. Le vieillard répliqua que le Maître, lui, le pouvait. Il conseilla au visiteur d'abandonner son projet tant qu'il ne serait pas capable d'en faire autant. Excédé, l'expert jura de revenir et de réussir l'épreuve. Deux années passèrent pendant lesquelles il s'entraîna intensivement à la casse. Chaque jour il se musclait et durcissait son corps. Ses efforts portèrent leurs fruits car il se présenta à nouveau à la porte de l'école, sûr de lui. Le même petit vieux le reçut. Exigeant qu'on lui apporte l'un des fameux bambous pour le test, le visiteur ne tarda pas à le caler entre deux énormes pierres. Il se concentra quelques secondes, leva la main puis il cassa le bambou en poussant un cri terrible. Un sourire de satisfaction aux lèvres, il se retourna vers le frêle vieillard. Celui-ci fit un peu la moue et déclara : " Décidément, je suis impardonnable, je crois que j'ai oublié de préciser un détail ! le Maître casse le bambou … sans le toucher." Le jeune homme, hors de lui, répliqua qu'il ne croyait pas aux exploits de ce Maître dont il n'avait même pas pu vérifier la simple existence. Saisissant alors un solide bambou, le vieil homme le suspendit à une ficelle qu'il accrocha au plafond. Après avoir respiré profondément, sans quitter des yeux le bambou, il poussa alors un cri terrifiant qui venait du plus profond de son être, et sa main, telle un sabre, fendit l'air pour s'arrêter à 5 centimètres du bambou… qui éclata. Subjugué par le choc qu'il venait de recevoir, l'expert resta plusieurs minutes sans pouvoir dire un seul mot, pétrifié. Finalement, il demanda humblement pardon au vieux Maître pour son odieux comportement et le pria de l'accepter comme élève.
13/06/2014
PASCAL DURCHON
5eme Dan Aïkikaï
Professeur diplômé d’État - DEJEPS
DTR RÉGION CENTRE
Jury d'examens pour les grades techniques du 4ème au 1er Dan.
Ancien président du collège technique national de la FFAAA .
Il pratique également le ken enseigné par Minoru INABA Senseï.
Enseigne à Eragny-sur-Oise et Carrière-sur-Seine.
Anime de nombreux stages en France, en Pologne, en Allemagne et en Angleterre.
INTERVIEW PASCAL DURCHON - AÏKIDO MAGAZINE
DÉC. 2005
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AUTRES VIDÉOS DE PASCAL DURCHON
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12/06/2014
ESTAMPES UTAGAWA : LES 47 RONIN
L'histoire des 47 rônin est connue de tous les Japonais, elle représente le dévouement, l'honneur et la fidélité absolue au point de donner sa vie. Ces valeurs inspirent encore de nos jours le quotidien des Japonais et ils sont nombreux à venir se recueillir sur les tombes de ces Samouraïs sans Seigneur suite à la condamnation au seppuku de leur Daimyo : Naganori Asano.
Voici la série d'estampes appelée "seichû gishi den" réalisée par UTAGAWA Kuniyoshi entre août 1847 et janvier 1848.
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à l'initiative du site : http://bushido.over-blog.com
11/06/2014
CHATEAU DE HIMEJI
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Le château de Himeji est le plus connu des châteaux du Japon. Il est surnommé "le Héron Blanc". C'est le plus grand château du Japon. Inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO et désigné comme trésor culturel du Japon, avec Matsumoto-jō et Kumamoto-jō, c'est l'un des trois seuls châteaux japonais en bois encore existants. Il est situé à Himeji dans la préfecture de Hyōgo.
Il est fabriqué en pierre pour la robustesse de la base et en bois. Sa construction débute au XIV° siècle (1346) et s'acheva au XVII° siècle (1609).
Le château est constitué d'un total de 83 bâtiments tels que des entrepôts, des portes, et des tourelles. Sur ces 83 bâtiments, 74 sont désignés en tant que bien culturel important : 11 couloirs, 16 tourelles, 15 portes et 32 murs dont le plus grand atteint une hauteur de 26 m.
Le donjon fait près de 2 000m² sur 6 étages, d'une hauteur de 46,4 m ; il est situé au centre du château. Trois tours plus petites y sont accolées.
Le château de Himeji possède un système de défenses évolué datant de la période féodale. Des meurtrières permettaient aux soldats armés d’arquebuses ainsi qu’aux archers de tirer sur leurs assaillants sans s’exposer.
Initialement, il y avait trois douves, il n'en reste que deux aujourd'hui.
Un des plus importants mécanismes de défense du château est le labyrinthe menant au donjon.
Le château de Himeji apparait dans " Ran" ou encore "Kagemusha", deux célèbres films dAkira Kurosaw.
Il est actuellement en rénovation jusqu'en mars 2015.
Le circuit balisé est à sens unique, la visite dure entre 1h30 et 3 heures.