19/01/2014
STAGE CHRISTIAN MOUZA 26/01/2014 A VICHY
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18/01/2014
KAKUZO OKAKURA - Le Livre Du Thé
Ce petit livre d'une centaine de pages écrit par Kakuzo Okakura publié en 1906 est une ode à la cérémonie du thé aussi appelée Chanoyu ou Sado,également Chado. C'est une voie dans la tradition japonaise permettant d'unifier l'être, de relier l'homme à la nature et à l'univers. Tout le soin apporté à la préparation est l'aboutissement de la recherche de la perfection dans l'instant grâce à une présence et surtout une intensité de présence découlant de la maîtrise parfaite des actions.
"Ceux qui sont incapables de sentir en eux-mêmes la petitesse des grandes choses sont mal préparés à discerner la grandeur des petites choses chez les autres. Un Occidental quelconque, dans sa complaisance superficielle, ne verra dans la cérémonie du thé qu'une des mille et une bizarreries qui constituent pour lui le charme et la puérilité de l'Extrême-Orient..."p. 11.
Caricaturant légèrement les Occidentaux de l'époque dans un premier temps, il exhorte à un rapprochement des deux entités distinctes. Mêlant Taoïsme, Zen et bouddhisme, il transcende le tout en fervent défenseur des traditions et des mœurs japonaises, pour nous faire découvrir la cérémonie du thé sous un autre angle, une vision infinie d'opportunités... Il décrit les écoles de thé selon les périodes et explique l'apport du Taoïsme et du Zen dans cette optique. Au chapitre suivant, il nous invite dans la chambre du thé, "destinée à ne pas recevoir plus de cinq personnes, les matériaux avec lesquels elle est construite sont destinés à donner l'impression de pauvreté raffinée." On l'appelle également maison du vide, les objets sont placés temporairement. La simplicité de la chambre de thé en fait un sanctuaire de pureté face au monde extérieur.
La salle de thé Shigure-tei au temple Kôdai-ji à Kyôto
Au fil du livre, on voyage dans le temps mais le temps n'a pas d'emprise tellement cela est agréable. Le chapitre suivant "Du sens de l'art", transforme le chef-d'œuvre en une réalité, car dit-il "les maîtres sont immortels, car leurs amours et leurs angoisses vivent en nous à jamais ".
Le chapitre suivant m'a particulièrement plu, traitant des fleurs, de leurs beautés,
de leurs jeux avec le vent et les insectes... subitement arrachés de leurs milieux par les mains de l'amoureux pour son amour débordant de rêves étoilés... mais l'on ne pense pas, à ce moment à la porté de ce geste... A moins de voir également le monde s'ennoblir par la transformation d'une mort vers une nouvelle vie. Les maîtres de thé ne coupaient pas plus que ce qui était absolument nécessaire. Dans le même esprit l'impératrice Komyo, une des souveraines les plus renommées de Nara chantait : "Si je te cueille, ma main te souillera, ô fleur ! Telle que je te vois au sein de la prairie, je te donne en offrande aux Bouddhas du passé, du présent et de l'avenir."
A vous de vous faire un avis,mais ce petit livre est indispensable à notre culture de l'Aïkido, il me semble !
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17/01/2014
MINORU MOCHIZUKI
MINORU MOCHIZUKI
Né le 11 avril 1907 d'une famille de Samouraïs, Minoru Mochizuki Shihan a commencé à étudier le Judo à l'âge de 6 ans à la suite d'un déménagement de sa famille à Tokyo. Il s'est éventuellement retrouvé dans le dojo du maître Tokusanbo, le Kendokan, où il pratiquait le Judo. Dans cette même période, il a aussi pratiqué du Gyokushinryu Jujutsu avec Sanjuro Öshiam et du Kenjutsu avec un ex-samouraï. En 1926, il s'est inscrit au Kodokan, dojo de Jigoro Kano Shihan. Il est rapidement devenu un disciple particulier de Kyuso Mifune (10e dan de Judo) à tel point qu'il demeurait chez lui.
C'était un temps de pleine expansion pour le Kodokan. Kano Shihan encourageait ses élèves à étudier d'autres disciplines. À cette époque, Minoru Mochizuki Shihan commença l'étude du Katori Shintoryu (entre autres : le Iaï, le Ken, le Bo, le Naginata), du Jujutsu avec Takaji Shimizu au Dojo Mumon et du Kendo au dojo Yushinkan avec Hakuko Nakayama Shihan. Voyant qu'il maîtrisait rapidement ces arts, Jigoro Kano Shihan l'a envoyé étudier au dojo Kobukan sous Morihei Ueshiba Soke. En plus de la tâche évidente d'en apprendre le plus qu'il pouvait, il devait aussi rapporter régulièrement à Kano Shihan un compte rendu de son entraînement et ses progrès.
Au cours de ces rapports et en écoutant les explications de son maître, ils en sont venus à discuter de la meilleure façon d'utiliser l'énergie physique et mentale. Mochizuki Shihan s'est souvenu du sutemi-waza du Gyokushinryu Jujutsu et trouva qu'il représentait parfaitement la façon d'atteindre ce but. Il s'est donc concentré à choisir les techniques de Judo, d'Aïkido et des nombreux autres arts martiaux qu'il avait étudiés pour en tirer celles qui représentaient le mieux les idées de Jigoro Kano. De là est né ce qu'il nomma le Yoseïkan Budo.
En novembre 1931, il a ouvert son propre dojo, le Yoseïkan, dans la ville de Shizuoka. Morihei Ueshiba Soke (fondateur) lui a attribué, en juin 1932, deux parchemins de Daïtoryu. Peu de temps après, il a vécu pendant cinq ans en Mongolie où il était instructeur des arts martiaux japonais et il a, à son tour, étudié les arts martiaux chinois.
Il fut le premier à enseigner l'Aïkido en Occident lors de son voyage en France comme instructeur de Judo en 1951. Il a ensuite été instructeur de Judo et d'Aïkido à Saigon, au Vietnam, en 1973. A partir de 1976, il a donné chaque année une lecture au Kodokan pour les élèves avancés. Il s'est aussi présenté à la deuxième "Démonstration de l'Amitié", tenue le 25 octobre 1986.
Il a longtemps demeuré à Shizuoka, au Japon, au-dessus de son dojo, le Yoseïkan. Il a ensuite vécu quelques années en France, avec son fils, près d'Aix-en-Provence où il est décédé en mai 2003.
A lui seul, il totalise plus d'une cinquantaine de grades dans différentes disciplines.
(Aïkido, Nihon jujutsu, Judo, Katori Shinto ryu, Iaïdo, Karaté, Kendo)
Interview de Minoru Mochizuki, 1ère partie
Interview de Minoru Mochizuki, 2ème partie
Interview de Minoru Mochizuki, 3ème partie
....
bibliographie tirée du site de l'Association Canadienne d'Aïkido Mochizuki
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16/01/2014
STAGE Tadeshi YAMASHIMA
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15/01/2014
FRANCK NOËL...
CET ARTICLE ÉCRIT PAR FRANCK NOËL EST COMME TOUS SES ARTICLES, EMPREINT D'UNE RÉFLEXION POINTUE ET D'UNE EXPÉRIENCE PERSONNELLE HORS NORME.
C'EST UN SOUFFLE D’ESPÉRANCE !
article tiré de son site ici
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14/01/2014
TADESHI YAMASHIMA
Merci au site TEN CHI BUDOKAN pour la biographie de
Yamashima Tadeshi Senseï repostée ci-dessous :
cliquer sur le lien pour voir ce site
Takeshi Yamashima Senseï est né au Japon le 12 Septembre 1942. Il a commencé son parcours dans les arts martiaux dès sa « prime » jeunesse par l’étude et la pratique de la lutte et du Sumo car après la deuxième guerre mondiale, les distractions et les activités sportives étaient rares au Japon et parmi les « jeux » de l’époque dispensés à l’école, la lutte et le Sumo étaient prédominants.
Il a aussi beaucoup pratiqué le Kendo lorsqu’il était au lycée.
Yamashima Senseï a débuté l’Aïkido à l’âge de 18 ans à l’université avec les maitres Yamada et Arikawa.
Il a connu et a également pratiqué avec O Senseï Morihei Ueshiba (le créateur de l’Aïkido) pendant 8 ans, puis à la mort de O Senseï, il a suivi les cours d’autres grands Maîtres comme Seigo Yamaguchi Senseï (dont il a été de nombreuses années « Uke »), Saotome Senseï; Osawa Senseï et enfin Masuda Senseï.
Yamashima Senseï enseigne aujourd’hui à Tokyo dans un dojo situé dans le quartier de Chiyoda (au centre de Tokyo) ainsi qu’au rez-de-chaussée de son domicile aménagé en dojo où de nombreux élèves Japonais et étrangers suivent son enseignement et pour certains d’entre eux depuis plus de 30 ans.
C’est en novembre 2002 qu’il est venu pour la 1ère fois en France pour diriger une série de stages tout d’abord à Marseille puis à Rosny-sous-Bois (93) et enfin à Bordeaux. Depuis, à l’invitation d’Alain Guerrier, Philippe Grangé et José Laroncelle, il nous rend visite chaque année.
Yamashima Senseï est également invité pour diriger des stages internationaux dans d’autres pays notamment en Angleterre, aux États-Unis, à Hawaï, en Suisse, en Hollande, en Suède…
il existe une interview de Yamashima Senseï faite pour "aïkido journal" par Stéphane Benedetti
Il nous parle du relâchement, du travail des hanches... de tout le corps, du lien avec le sabre du Shinkage Yagyu Ryu... A lire !
cliquer sur l'image pour ouvrir le fichier pdf
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13/01/2014
SEISEKI ABE
POUR FAIRE SUITE AU SHODO
Seiseki Abe est né en mars 1915 à Osaka, au Japon.
Il a commencé la voie de la calligraphie ou Shodo avec son père professeur des écoles et calligraphe, en 1934 alors qu'il avait 19 ans. En 1948, il devient professeur de shodo à Osaka. Sa maîtrise du shodo se heurta à un point invisible à l’œil nu pour le néophyte mais primordiale dans la progression intérieure, la profondeur du trait. C'est l'une des qualités qui donne vie à une œuvre calligraphique. Elle peut être considérée comme le cœur et l'âme de la calligraphie japonaise.
Cherchant à investir cette profondeur, il rencontra Kenzo Futaki qui explorait la puissance du misogi. C'était un docteur en médecine et un étudiant d'avant-guerre de Morihei Ueshiba. Il rejoignit donc Misogi no Renseikai (Association de Développement du Misogi). Après peu de temps, cela lui permit de changer son attitude et surtout sa perception de sa calligraphie. C'est à cette époque que Futaki Senseï lui a recommandé de se mettre à la pratique de l’aïkido.
En 1952, Bansen Tanaka [1912-1988] a ouvert un dojo d'aïkido à Osaka. Le lendemain de l'ouverture du dojo, Seiseki Abe remarqua le nom de "Tsunemori Ueshiba" sur le panneau de porte. Connaissant Tanaka mais ne sachant pas qu'il pratiquait l'aïkido, il entra et vit O Senseï pour la première fois. Il se présenta comme un étudiant du docteur Futaki et O Senseï s'intéressa à lui et l'accepta comme étudiant. Abe fut frappé par les similitudes de respiration entre aïkido, shodo et misogi.
Il avait déjà remarqué chez son père le va et vient de sa respiration lors du Shodo.Comme Abe Senseï l'a exprimé lors d'une entrevue : '' Même maintenant, je me souviens de la façon éclatante de la respiration de mon père et il m'a fait une très forte impression, pas seulement l'écriture des lettres, mais le pouvoir de la respiration sur les caractères de l'écriture''.
En 1954, Seiseki Abe a accompagné Morihei Senseï à Shingu pour y assister à l’ouverture du dojo de Michio Hikitsuchi. Le séjour dura un mois, et comme Morihei Senseï détestait voir les gens ne rien faire, il demanda à Seiseki Abe d’enseigner la calligraphie entre les cours d’aïkido. Morihei Senseï le regardait enseigner et petit à petit, il s’y intéressa lui-même. Après ce séjour, O Senseï commença a pratiquer la calligraphie avec Abe Senseï.
calligraphie de O Senseï de la collection de Seiseki Abe
Pendant les dix dernières années de sa vie, O Senseï est venu chaque mois habiter chez Abe Senseï et a enseigné l'Aïkido au dojo qu'Abe Senseï avait construit pour lui. O Senseï a reconnu aussi le rapport des arts martiaux et de la calligraphie, il a donc commencé à étudier la calligraphie sous la direction d'Abe Senseï.
Voici un petit extrait :
Avez-vous commencé votre carrière en aïkido en tant qu’uchideshi ?
Oui, d’une certaine manière, mais en fait c’était Morihei Senseï qui venait chez moi - pour pratiquer la calligraphie comme je l’ai dit - plutôt que l’inverse. Cela me mettait dans la situation assez inhabituelle d’être un uchideshi dans ma propre maison ! Nous avions une chambre à l’écart spécialement pour lui et c’est là que nous avons développé notre relation élève-professeur. Néanmoins, c’était vraiment une relation élève-professeur à l’ancienne basée sur l’esprit strict du bushido. La discipline n’était pas imposée, cependant, mais trouvait son origine dans les attitudes et le comportement qu’adopte naturellement tout uchideshi souhaitant servir son professeur. C’est vraiment la seule manière pour réellement saisir et absorber le “kokyu” de votre professeur. Vivre sous le même toit que votre professeur vingt-quatre heures sur vingt-quatre vous donne accès non seulement à ses connaissances techniques, mais aussi à une compréhension de la manière dont il vit et respire, son style de vie et ses rythmes. C’est un moyen de développer et discipliner votre ki, et par la suite de connaître toutes les facettes de votre professeur. Morihei Senseï venait pendant des période de sept à dix jours à la fois, et être aussi proche de son quotidien pendant des périodes si longues était une expérience vraiment incroyable et précieuse.
Par exemple, en préparant le thé, je devais sentir ou estimer sa soif et ajuster la température en conséquence. Ou en préparant son bain, je devais faire très attention à ajuster précisément la température de l’eau - pas simplement en mettant ma main dedans pour tester directement -, mais en prélevant un peu d’eau dans un seau et en me basant là-dessus. Si je mettais ma main directement, ma peau aurait répandu un petit peu d’huile corporelle dans l’eau et d’une manière ou d’une autre, il l’aurait su. En d’autres termes, servir son professeur signifie être attentif et consciencieux et faire les choses proprement et convenablement, sans prendre de raccourcis. Même en dormant dans une pièce adjacente, ma respiration devait s’accorder à la sienne à tout moment. De telles expériences constituent le côté stupéfiant du rôle d’uchideshi.
Après la mort de Ueshiba en 1969, Abe a continué à enseigner à la fois le shodo et l'aïkido à son dojo à Osaka.
Seiseki Abe s’éteint le 18 Mai 2011, à l'âge de 96 ans.
entretien avec Léo Tamaki :
Abe Seïseki
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12/01/2014
SHODO
Fukiko Sunadomari avec O Senseï
Le Shodo est l'art de la calligraphie. C'est un Do, une voie,
comme la voie du thé, appelée aussi chanoyu sadō ou chadō ;
ou l'art de l'arrangement floral nommé Kado ou Ikebana
tout comme l’Aïkido et les autres Arts Martiaux.
Le but recherché n'est pas l'apparence du résultat mais la transformation de l'être humain, la révélation de sa véritable nature sans artifice.
Au Japon, la calligraphie est enseignée dès l'école primaire et fait partie du cursus normal. Le Shodo fait partie du quotidien et bon nombre d'adultes pratiquent cet art et recherchent le geste juste tout comme nous dans l’Aïkido.
Le matériel utilisé se compose ainsi :
Fudé - Pinceau
Kami - Papier
Sumi - Bâton à encre / Bokujû - bouteille à encre
Suzuri - Encrier
Le style carré (Kaisho) de l'écriture kanji est rarement utilisé dans la vie quotidienne.Les styles semi cursive (gyosho) et cursive (sosho) plus déliés et fluides sont plus utilisés.
On remarque bien la différence de style plus rigoureux, précis et carré pour le kaisho, un peu plus libre, doux pour le goshyo et enfin très fluide, envolé pour le sosho.
Le style sosho démontre une écriture plus dynamique, plus rapide, semblable à notre écriture rapide de tous les jours.
Les kanjis sont les caractères empruntés à l'ethnie Hàn chinoise et utilisés en langue japonaise. Elle a donc son origine en Chine.
POUR ALLER PLUS LOIN CLIQUER SUR LA CALLIGRAPHIE
CI-DESSOUS.
Aïkido calligraphie de O Senseï
"Le degré d’épaisseur ou de finesse du trait est une qualité relativement évidente qui détermine si une ligne porte le niveau d’énergie ou de vigueur désiré, mais des qualités comme la profondeur (et aussi la “hauteur”) sont invisibles et donc beaucoup plus insaisissables. C'est cette épaisseur qui donne vie, corps et âme à la calligraphie.
"Le véritable shodo est kokyu. L'essence de la brosse se trouve dans les choses que l'œil ne peut voir. C'est-à-dire, dans le kokyu." SEISEKI ABE SENSEÏ.
Pour Seiseki Abe, la production actuelle tend à perdre en partie ce qui en faisait la force, l'impalpable et le kokkyu manque de plus en plus ." Récemment, le shodo moderne a dégénéré dans le domaine du visible - pinceau simple, léger de la main et sans âme ni technique. Le vrai sens de la calligraphie japonaise a été perdu. C'est une véritable honte."
calligraphie de Morihei Ueshiba
« La vraie victoire est la victoire sur soi-même, victoire à la vitesse de la lumière, qui devient divinement Takemusu ».
11/01/2014
AïKIDO PIONNIERS D'AVANT-GUERRE !!! pdf très rare
Tiré d'aïkido journal
"Durant sa longue carrière, Ueshiba s'associe avec certains des personnages les plus colorés d'avant-guerre du Japon, dont le célèbre maître de jujutsu Sokaku Takeda, le chef religieux charismatique Onisaburo Deguchi, et de nombreux membres de l'armée japonaise, politique, et l'élite des affaires.
Voici l'histoire captivante de la naissance de l'aïkido, sur la base des témoignages de première main des meilleurs étudiants d'Ueshiba avant la Seconde Guerre mondiale.
Les entretiens contenus dans Aïkido pionniers - d'avant-guerre ont été méticuleusement édités à partir de centaines d'heures de conversations menées sur une période de 30 ans avec les plus proches du fondateur. Ces premiers adeptes de l'art offrent un portrait perspicace du caractère du fondateur de l'aïkido, et une description détaillée de son enseignement et de ses activités, couvrant près de la moitié d'un siècle. Plus de 100 photos, pour la plupart publiées pour la première fois, ajoutent une dimension visuelle importante aux témoignages des personnes interrogées. C'est un volume indispensable pour ceux qui désirent découvrir les racines de l'Aïkido, un véritable trésor culturel du Japon."
POUR TÉLÉCHARGER LE PDF, CLIQUER SUR L'IMAGE CI-DESSUS
CECI EST UN EXTRAIT MAIS BIEN CONSÉQUENT TOUT DE MÊME. MALHEUREUSEMENT SEULEMENT EN ANGLAIS.
Contenu
Aperçu historique de Stanley Pranin - 20 entretiens avec les pionniers Aïkido suivants de l'ère d'avant-guerre :
Noriaki (Yoichiro) Inoue - neveu de Morihei Ueshiba, et l'un des plus qualifiés des étudiants du fondateur qui a continué à créer Shinei Taido après la guerre
Kenji Tomiki - a commencé Daito-ryu Aikijujutsu en 1925 sous Morihei, devenant plus tard professeur à l'Université de Waseda et fondateur de l'Aïkido Tomiki, la seule forme de l'art d'intégrer la concurrence
Hisao Kamada - l'un des premiers élèves de Morihei avec la connaissance de l'intérieur des débuts de l'aïkido
Hajime Iwata - ancien disciple de son fondateur qui a enseigné Aïki Budo à Shanghai, en Chine, et plus tard promu au grade de 9e dan
Minoru Mochizuki - champion de judo envoyé pour étudier avec Morihei par Jigoro Kano de Judo Kodokan renommée ; qui plus tard a lancé l'aïkido en France et créé Yoseikan Budo
Shigemi Yonekawa - l'un des plus qualifiés de l'avant-guerre uchideshi, connu pour apparaître avec le fondateur de la célèbre Noma Dojo série de photos
Rinjiro Shirata - la fierté de la Kobukan qui, après la Seconde Guerre mondiale, a enseigné l'aïkido dans la région de Tohoku et a été plus tard attribué 9ème dan
Gozo Shioda - ancien disciple de Morihei dynamique qui a pris l'initiative de développer l'aïkido d'après-guerre et établi Yoshinkan Aïkido
Yoshio Sugino - judo et Katori Shinto-ryu adepte qui s'inscrit à Kobukan, et plus tard la chorégraphie des scènes d'arts martiaux pour Les Sept Samouraïs et Yojimbo de Kurosawa
Kiyoshi Nakakura - fils adoptif de Morihei Ueshiba, et l'un des meilleurs escrimeurs du Japon du XXe siècle
Takako Kunigoshi - l'un des rares praticiens Aïki Budo femmes, et artiste de talent qui a créé les dessins techniques pour Budo Renshu
Zenzaburo Akazawa - d'une famille de croyants Omoto, a commencé Aïki Budo à 12 ans et a servi Morihei et sa famille pendant la période d'avant-guerre
Tenryu - le célèbre lutteur de sumo qui s'est rebellé contre l'avant-guerre féodale Association de sumo, et qui a étudié sous Morihei après s'être trouvé impuissant contre le fondateur
Bansen Tanaka - étudiant d'avant-guerre de Morihei d'Osaka qui a créé une grande organisation de l'aïkido après la guerre, et a reçu le 9ème dan
Shigenobu Okumura - un étudiant à la célèbre Université Kenkoku en Mandchourie, qui est devenu l'un des piliers de l'Aïkikaï après la guerre, et atteint le grade de 9e dan
Minoru Hirai - Directeur des Affaires générales de Kobukan qui a joué un rôle clé dans le choix du nom "aïkido", et qui allait fonder Korindo Aikido
Koichi Tohei - l'un des plus célèbres élèves de Morihei, pionnier de l'aïkido à Hawaï et aux États-Unis, qui a atteint le grade de 10e dan, et fonda plus tard Shin Shin Toitsu Aikido
Étudiant tôt consacré de fondateur qui a servi comme Dojo-cho de la guerre Aïkikaï, et atteint le grade de 9e dan - Kisaburo Osawa
Kanshu Sunadomari - d'une famille de croyants pieux Omoto, formés à Kobukan pendant la guerre, et qui plus tard a mis au point l'aïkido à Kyushu, et a atteint le grade de 9e dan, et établi Manseikan Aïkido
Doshu - fils, administrateur de Morihei et figure de proue de l'aïkido d'après-guerre, auteur prolifique, et de l'art deuxième Doshu.
""À propos de l'auteur
Stanley Pranin est une ceinture noire 5ème degré d'aïkido , et rédacteur en chef de l’Aïkido Journal, anciennement connu sous le nom Aïki Nouvelles. Un historien passionné de l'Aïkido, Pranin a vécu au Japon pendant plus de 20 ans; il effectue des recherches dans l'art, en particulier la vie et l'œuvre de l'Aïkido fondateur Morihei Ueshiba. Il est l'auteur de L'Encyclopédie de l'Aïkido, et de centaines d'articles écrits sur tous les aspects de cet art.""
10/01/2014
TAO TO KING
wikipédia source
Tao Te Ching, Wang Bi edition, Japan 1770.
Le Tao Tö King (« livre de la voie et de la vertu ») est un ouvrage classique chinois qui fut écrit autour de 600 av. J.-C. par Lao Tseu, fondateur du taoïsme. Selon certains, ce serait un recueil d'aphorismes provenant de plusieurs auteurs. Par l'interprétation qu'ils suggèrent, ces commentaires ont contribué autant que le texte d'origine au sens de l'ouvrage et à sa place dans la philosophie et la religion.
Le commentaire de Wang Bi deviendra après les Song le plus consulté. Il est à la base de presque toutes les traductions en langue étrangère. Il relie le Tao To King au Tchouang-tseu et au Yi Jing pour constituer un ensemble qu'il appelle "sanxuan"," Les trois traités de la profondeur ".
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en cliquant sur l'image "Lao Tseu cheminant sur son boeuf"