07/01/2014
KAESHI WAZA
Voilà un moment que je voulais faire un article sur ce sujet.
En consultant le web, je suis tombé sur plusieurs articles très intéressants que je vous fais partager.
Le but de ce blog étant plus de susciter une envie d'aller plus loin dans la recherche d'informations, souvent je lance un sujet avec des liens, et à vous de vous faire votre propre opinion !
Voilà aussi pourquoi, pour l'instant, il n'y a pas de possibilité de déposer des commentaires.
Écrire sur un sujet demande un investissement énorme, alors je préfère vous faire partager ceux-ci, qui sont nettement plus brillants que ceux que je pourrais vous proposer.
Le premier article :
Kaeshi Waza : de la contre-technique au retournement-technique
est tiré du site d'Alexandre Grzeg, plusieurs fois mentionné dans ce blog.
05/01/2014
HANG
A Noel,j'ai vu un instrument très étrange ,mon frère et ma belle soeur avaient offert ce dernier à mon neveu Anael...je vous le fais découvrir
Le Hang est un instrument de musique acoustique de la famille des percussions (idiophones) dont le son est produit par le matériau de l'instrument lui-même, inventé par Felix Rohner et Sabina Schärer à Berne en Suisse en 2000.
C'est donc un instrument très récent et pourtant qui paraît avoir une longue existence tant les sons sont harmonieux et spaciaux et que son aspect est à la fois rustique et futuriste. Il n'existe que peu d'instruments car la fabrication, très longue, dure plus d'un an voir deux maintenant en Suisse.Celui que j'ai vu , venait de France d'un luthier dans le haut Var à Entrecasteaux .
La partie supérieure du hang est appelée le « Ding » ; une multitude de sons peuvent être produits selon le contact que l'on a avec l'instrument, percussions, effleurements, glissements... Les notes se répartissent sur le pourtour du Ding. Plusieurs harmoniques sont accessibles pour chaque note selon le degré de maîtrise.
La partie inférieure de l'instrument est, elle, appelée le « Gu » ; elle est essentiellement constituée d'une surface lisse avec un trou rond en son centre, ce qui permet une résonance. L'ocarina est également bâti sur ce principe
Malgré son aspect rustique, le Hang ne doit pas recevoir de choc, ni être exposé à trop de chaleur.
04/01/2014
YOSHIMITSU YAMADA
Yoshimitsu Yamada est né à Tokyo en 1938. Il a commencé l'Aïkido en 1955, à l'âge de 17 ans.
Son père a été élevé par la famille de Tadashi Abe, c'est pour cela que l'on dit souvent que son oncle été Tadashi Abe. Pendant la guerre, il partit en Corée avec la famille de Tadashi qui y développa un commerce dans une entreprise minière jusqu'à la fin du conflit.
La première fois qu'il vit O Senseï, ce fut pour une démonstration et il fut très impressionné. O Senseï avait été invité par le père de Tadashi, qui, en quelque sorte, était un mécène.
Il est entré à l'Hombu Dojo comme uchi deshi, grâce à une lettre d'introduction de son oncle Tadashi Abe. Nobuyoshi TAMURA et Sadateru ARIKAWA étaient déjà là. La vie au quotidien n'était pas facile au Hombu Dojo, en cette période d'après-guerre : pas de chauffage, nourriture restreinte...
Seiichi Sugano, Nobuyoshi Tamura, Yoshimitsu Yamada, fellow uchideshi at the Aïkikaï Hombu Dojo c. 1960
A l'époque, le Doshu Kisshomaru UESHIBA, Koichi TOHEI étaient les principaux instructeurs, également avec Kisaburo OSAWA, Hiroshi TADA, Seigo YAMAGUCHI ou encore Kenji TOMIKI.
Après quelques années, il fut désigné pour enseigner aux soldats américains. Il aimait la culture américaine, et ayant appris l'anglais en parlant avec les enfants américains des bases proches de chez lui quand il était enfant, naturellement ce fut lui qui fut choisi pour ce travail.
Il rêvait de partir pour Paris, pour continuer le travail de son oncle, mais finalement, il partit aux États-Unis en 1964 pour faire une démonstration d'Aïkido à l’exposition universelle de New York. Initialement, Kochi Tohei devait faire ce voyage, mais au dernier moment, il eut un contretemps et fut remplacé par Yoshimitsu Yamada.
A l'époque, bien que l'Aïkikaï originel de New York ait été fondé en 1961 et dirigé par Yasuo Ohara, Yamada devint l'instructeur en chef de l’Aïkikaï de New York. Les débuts furent difficiles, mais les années passant, l'Aïkido se développa.
Yamada se rendait chaque semaine à Boston, et souvent à Philadelphie.
En 1966 Mitsunari Kanai prit en charge le petit groupe de Boston. Il décéda en 2004.
Au fil du temps, les étudiants de Yamada ont évolué au point d'avoir leurs propres élèves et ont atteint des niveaux très élevés.
En 1988, Yamada a invité Seiichi Sugano à rejoindre le dojo, ce qui en faisait l'un des rares dojos en dehors du Japon avec deux 8ème dan Shihan en résidence, jusqu'au décès de Seiichi Sugano en août 2010.
Yamada est président de la Fédération d'Aïkido des États-Unis et président de la Fédération d'Aïkido d'Amérique Latine. En Janvier 2011, Yamada a accepté l'invitation à devenir le patron de l'Aïkikaï d'Australie.
Yamada Senseï n'a rien contre les armes mais ne les enseigne pas. Il laisse ce soin à d'autres.
Depuis la disparition de Tamura Senseï et Sugano Senseï, Maître Yamada continue d'assurer le stage de Lesneven, en Bretagne, qui aura lieu cette année du 12 au 20 juillet 2014.
lire ces interviews :
ou ceux-ci par léo tamaki sur son site budo no nayami
interview Yamada Yoshimitsu, l'homme libre
ou
Yamada Yoshimitsu shihan au Shumeïkan, Bras
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03/01/2014
ALAIN ROYER... 7° DAN
Alain Royer débute l'Aïkido en 1968 avec Gérard Baize au CUC (Clermont Université Club), pendant une dizaine d'années. Il suit également l'enseignement de Tamura Senseï régulièrement jusqu'à l'éclatement de l'UNA. Il choisit la FFAAA avec Christian Tissier comme directeur technique et devient DTR de la ligue d'Auvergne.
Aujourd'hui âgé de 70 ans depuis le 24 décembre 2013, il dirige toujours l'Aïkido auvergnat pour la fédération FFAAA. Ces cours sont suivis assidûment dans son Dojo de Royat et de Clermont-Ferrand.
Il vient d'être nommé 7° Dan... après 45 ans de pratique !!! et toujours autant de dynamisme...
Félicitations !!!
VOICI LA COUPURE DE PRESSE DE "LA MONTAGNE"
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19/20 édition clermont soir 2009
foire internationale Cournon 2009
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02/01/2014
AÏKI JINJA
Aïki Jinja est un sanctuaire shinto situé à Iwama au Japon, dédié à l'aïkido et construit par le fondateur de ce dernier, Morihei Ueshiba. Ce sanctuaire est lié à un dojo où enseigna le fondateur et où se pratique encore l’aïkido. Morihiro Saito en hérita la garde après la mort de Ueshiba. À la mort de Saito, l'Aïkikaï choisit de retirer la garde de l'Aïki Jinja à Hitohiro Saito, fils de Morihiro Saito.
LIRE CET ARTICLE POUR PLUS D'INFOS
Iwama, la Mecque de l’Aïkido
article écrit par Daniel TOUTAIN - 6th Dan Aïkikaï
31/12/2013
A VOIR ET A ECOUTER !
30/12/2013
MORIHEI UESHIBA
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29/12/2013
BOUDDHA & BOUDDHISME
Pour faire suite à l'article de "Siddhartha", l'ouvrage d'Hermann Hesse, je vais faire une esquisse sur bouddha et le bouddhisme. Les sites sont innombrables sur le sujet.
Le prince Siddhartha naquit sur les rives du Gange, en tant que fils d'un roi du clan Shakya ; il vécut plus de 27 ans dans son palais et lorsqu'il prit conscience de la maladie, de la vieillesse et de la mort ainsi que de la souffrance engendrée, il décida de tout abandonner.
Il quitta son palais contre l'avis de son père et commença une recherche spirituelle, afin de trouver le calme de l'esprit et d'avoir des réponses sur le sens de la vie et de la mort. Durant six ans, il pratiqua l'ascèse et compris la voie du milieu, le chemin entre les extrémités.
Il obtint l'éveil sous l'arbre de la Bodhi. C'est ainsi que naquit pour la deuxième fois Siddhartha Gautama, que nous connaissons sous le nom de" Bouddha", également nommé « Sage des Shakyas » (Shakyamuni) ou Bouddha Sakyamuni.
Il créa le Bouddhisme afin de faire partager son expérience, pour guider ses semblables sur la voie de l'éveil. Le bouddhisme est à la fois une religion, une philosophie, une pratique centrée sur la méditation, aidant ses adeptes à reconnaître leur véritable nature,c'est-à-dire la potentialité de tout un chacun de parvenir à se libérer des chaînes qui nous retiennent dans le cycle de l'existence.
Le samsâra est le cycle de renaissance et de souffrance dans lequel sont pris les êtres non éveillés.
Il se perpétue par l'accumulation du karma et s'achève pour chaque être dès que le nirvāṇa est atteint.
La cause de la souffrance est l'incapacité à voir correctement la réalité. Les illusions qui nous semblent la réalité conduisent à l'avidité, au désir de posséder davantage que les autres, à l'attachement et à la colère.
La souffrance naît de l'insatisfaction.. Il est facile de constater que nous ne sommes jamais satisfaits, nous voulons toujours plus et donc... on tourne en rond !!!
Les quatre nobles vérités sont la base du Dharma, la voie du Bouddha.
- La vérité de la souffrance : toute vie implique la souffrance, l'insatisfaction ;
- la vérité de l'origine de la souffrance : elle repose dans le désir, les attachements ;
- la vérité de la cessation de la souffrance : la fin de la souffrance est possible ;
- la vérité du chemin : le chemin menant à la fin de la souffrance est la voie médiane, qui suit le Noble Chemin Octuple.
IL EXISTE PLUSIEURS COURANTS :
Le Hīnayāna, ou voie du Petit Véhicule, représentée principalement de nos jours par le theravāda
au Sri Lanka, Birmanie, Thaïlande, Laos, Cambodge, Vietnam du Sud.
La doctrine du theravâda explique comment accéder soi-même à la délivrance en devenant un arhat. Elle s'appuie sur les textes basés sur les paroles du Bouddha ou Tipitaka.
Le Mahāyāna, ou voie du Grand Véhicule apparaît vers le début de l’ère chrétienne dans le nord de l’Inde, puis en Chine, et dans le reste de l’Extrême-Orient.
Il s'agit de trouver l'éveil pour soi-même mais aussi pour tous les êtres vivants, dans la motivation altruiste et universaliste de la bodhicitta, qui est l'aspiration et l'engagement à atteindre l'Éveil, ou bouddhéité, afin d'y amener tous les êtres sensibles, et ainsi les libérer de la souffrance inhérente à l'existence cyclique du "samsāra". Celui qui engendre cette motivation et qui en fait les vœux formels est appelé bodhisattva.
Le Zen est une école dérivée du mahāyāna.
Le Vajrayāna, ou véhicule de diamant, apparaît aux alentours du VIIe siècle en Inde et se développe surtout de nos jours dans la région himalayenne (Tibet, Népal, Sikkim, Bhoutan, nord de l'Inde, confins ouest et nord de la Chine) et au Japon (Shingon, partiellement Tendai).
Il est nommé aussi bouddhisme tantrique.
Le but de la pratique est de développer la Nature de Bouddha qui est en soi et d’atteindre l’état de Bodhisattva pour sauver tous les êtres. Le Vajrayāna est souvent décrit comme un véhicule qui est plus rapide que le Mahāyāna et le Hīnayāna pour atteindre l’Éveil, et potentiellement en une seule vie. La particularité principale du Vajrayāna est le recours aux Tantras ou autres méthodes de méditation yogiques comme le Dzogchen, surtout pratiqué par les nyingmapa et le bön, ou le Mahamudra des courants Kagyüpa et Shingon.
Ces quatre écoles principales du bouddhisme tibétain sont :
26/12/2013
CHESSBOXING
ALLIANT TÊTE ET CORPS...LE CHESSBOXING !
Dans un combat de Chessboxing, deux adversaires s'affrontent en alternance lors d'une partie d'échecs et d'un combat de boxe.
Le concours commence par un tour d'échecs, suivi d'un tour de boxe, suivi par un autre tour de jeu d'échecs et ainsi de suite.
Un concours se compose de 11 tours, 6 tours du jeu d'échecs, 5 tours de boxe. Un tour d'échecs prend 4 minutes. Chaque concurrent dispose de 12 minutes sur la minuterie d'échecs.
Un tour de boxe prend 3 minutes. Entre les tours, il y a une pause de 1 minute.
Le vainqueur le devient, soit :
- par échec et mat
- par KO
- par dépassement du délai (échecs)
- par retrait d'un adversaire (échecs et boxe)
- par décision de l'arbitre (boxe)
Si égalité, l'adversaire avec le score le plus élevé dans la boxe gagne.
S'il y a un score égal, l'adversaire avec les pièces noires gagne.
Combiner ses aptitudes physiques et mentales,
c'est plus difficile après avoir reçu un direct ou un crochet lors du round de boxe précédent !
22/12/2013
TABOU (GOHATTO), un film d'Oshima - 1999.
Tabou ou Gohatto (御法度?), est un film japonais réalisé par Nagisa Oshima, sorti en 1999.
Il traite de la vie dans une milice de samouraïs, Shinsen Gumi, à la fin du XIXe siècle (vers la fin du shogunat en 1865) et, plus précisément, de la question de l'homosexualité dans le milieu relativement fermé de cette académie.
La musique, intrigante et pesante, accompagne ce policier au temps des samouraïs.
extrait 1
extrait 2
extrait 3