18/02/2014
CRITERES D'EVALUATION 3° 4° Dan BERNARD PALMIER
Tiré du site de Bernard Palmier
Essai de clarification des critères d’évaluation
aux 3ème et 4ème dan.
Pour un 3ème ou 4ème dan, la notion de fluidité peut être considérée comme un critère déterminant. La fluidité n’est pas un processus, mais un résultat. C’est la conséquence de la maîtrise et de la mise en œuvre dans la pratique des principes structurants de l’Aïkido... La notion de fluidité permet d’avoir une autre lecture des critères d’évaluation, une lecture plus adaptée aux 3ème et 4ème dan...
La fluidité peut se décliner de la façon suivante :
- Liberté d’expression : connaissance et maîtrise du répertoire, variété et facilité dans la pratique.
- Adaptabilité : pratique maîtrisée et contrôlée quel que soit le partenaire ; saisir les opportunités offertes par Uke (Henka waza)
- Non-opposition : prendre et garder l’ascendant sur le partenaire sans jamais s’opposer à lui.
- Puissance : imposer et maintenir un rythme à l’intérieur du mouvement, développer de la puissance sans mettre de force inutile (kokyu)
- Permanence du contrôle dans la relation Uke /Tori : maintenir la saisie ou le contact pour rester en relation avec son partenaire. Raideur, blocage, choc, arrêt, rupture, saccade...vont à l’encontre de la "fluidité".
Le niveau d’exigence sera différent d’un grade à l’autre.
- 1er dan : Reproduire des formes techniques, des schémas ; disposer des "outils constitutifs" de la pratique. La "fluidité" n’est pas demandée.
- 2ème dan : manifester une compétence dans le maniement des outils ; commencer à introduire de la fluidité dans la construction des techniques : la fluidité est balbutiante. Il s’agit plus de coordination que de fluidité.
- 3ème dan : le cadre de la fluidité est posé, les éléments sont en place, mais pas forcément maîtrisés.
- 4ème dan : les éléments sont maîtrisés, la fluidité est accomplie.
Autrement dit, la progression s’organise autour de "KATA / WAZA" :
• KATA, c’est la forme, la reproduction des schémas, l’acquisition des outils ;
1er et 2ème dan
• WAZA, c’est l’application, sortir des schémas pour s’adapter aux situations
3ème et 4ème dan
Pour un 3ème ou 4ème dan, les trois critères d’évaluation peuvent être appréhendés à travers cette notion de fluidité :
1er critère : La connaissance formelle des techniques
- aucune hésitation dans l’exécution des techniques demandées
- une grande variété de techniques : techniques fondamentales, variations, variantes.
FLUIDITE
2ème critère : La construction des techniques
- distinguer les trois phases de construction pour les lier entre elles
- exécuter des variations à partir des différentes façons de réaliser chaque phase (Henka waza)
FLUIDITE
3ème critère : L’intégrité
On retrouve dans le 3ème critère tous les principes qui contribuent à développer la fluidité.
- De aï : la façon de rencontrer le partenaire (pression, extension)
- Ki musubi (être en phase avec son partenaire, permanence du contrôle)
- Irimi (détermination, orientation, prise d’angle, contrôler le centre, l’intérieur)
- Unité du corps, centrage (engager le corps dans le sens de l’action)
- Ma aï : distance/temps pendant l’exécution. La distance juste : la distance dont on a besoin pour exécuter une technique en appliquant les principes d’Aïkido.
- Ki nagare (conduire l’énergie, conduire le partenaire à partir d’un contact ou d’une saisie, en gardant l’unité du corps et en restant orienté sur le partenaire)
- Principe d’économie, d’ergonomie du corps et de gestion de l’effort.
- Zanshin : Continuité entre les techniques : présence, shisei, concentration
- Metsuke : la vision, le regard
- Reishiki : le respect de l’étiquette contribue à créer les conditions d’une pratique fluide (Connaissance du Reishiki : 1er critère / Respect du Reishiki : 3ème critère)
Bernard PALMIER
INTERCLUB BERNARD PALMIER ARNAUD WALTZ
Exemples de passage de grade 4°Dan
17/02/2014
MICHEL ERB
Michel ERB est né le 19 Décembre 1966 à Mulhouse (Haut-Rhin). Il débute l'Aïkido dans sa région natale, à Saint-Louis, en 1981. Dès le début de son apprentissage, sa volonté et son intérêt le poussent à suivre l'ensemble des cours proposés par son Club. Rapidement, il ressent le besoin d'enrichir sa pratique au contact de professeurs différents. A cette époque et toujours mû par une grande envie de découverte, il décide de se rendre au berceau de l'Aïkido. Ainsi, il entreprend son premier voyage au Japon en 1987, suivi d'un deuxième, deux ans plus tard. Il étudiera environ six mois sous la direction des experts du Hombu Dojo à Tokyo. Il retourne régulièrement au Japon.
Sa rencontre avec Christian Tissier, 7ème dan Shihan, va marquer un tournant décisif dans son approche de l’Aïkido. Bien au-delà d'une pratique, c'est toute une perception qui va changer. Ainsi, par une pratique quotidienne, il découvre la profonde richesse de l'Aïkido et décide de le faire partager aux autres.
Il débute, de ce fait, très jeune ses premiers pas dans l'enseignement.
Ses qualités techniques et pédagogiques lui permettent d'être rapidement remarqué et apprécié. Ainsi, dès 1995 il devient Délégué Technique Régional FFAAA de Bourgogne, en 1996, de Franche-Comté et en 2001 de Lorraine. Aujourd'hui, Michel se consacre pleinement à l'enseignement de l'Aïkido. Il dispense des cours dans divers clubs et anime de nombreux stages en France et à l'étranger.
Michel aime également redevenir élève, gardant toujours une curiosité et une envie d'apprendre dans ce passionnant domaine qu'est l'Aïkido.
1° Dan en 1987
2° Dan en 1989
3°Dan en 1991
4° Dan en 1994
5° Dan en 2005
6° Dan Aïkikaï en 2013
bibliographie de son site
ENTRETIEN MICHEL ERB PAR GUILLAUME ERARD
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Autre entretien d’aïkido journal (PDF)
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15/02/2014
BUNRAKU... l'insufflation de la vie !
Comme le Nô et le Kabuki, le théâtre de marionnettes Ningyo Johruri Bunraku fait partie du théâtre traditionnel japonais. C'est un mélange de narration chantée, d'accompagnement instrumental et de théâtre de marionnettes. Il est inspiré des drames historiques et les interactions entre histoires de cœur et affaires sociales.
Trois marionnettistes manipulent les grandes marionnettes articulées. Le marionnettiste principal dirige le visage et le corps de sa main gauche et le bras droit avec son autre main, le second marionnettiste commande le bras gauche, le troisième s'occupe des jambes. Lorsque les trois marionnettistes coordonnent leurs gestes, la poupée s'anime de l'intérieur et devient vivante.
La marionnette doit en outre exprimer des gestes mimétiques, mais surtout dégager le sentiment d'une propre vie intérieure.
Le tayu (récitant) ne récite pas seulement à la place de la marionnette muette, pas plus que le shamisen (luth à trois cordes) n'accompagne simplement le chant et la narration.
C'est la combinaison du shamisen, du tayu et des marionnettes qui crée cet espace temps dans lequel la marionnette prend vie. Il y a plus à écouter qu'a voir, savoir se laisser guider par la force du shamisen, par la voix venant du ventre, du plus profond de l'être permettant l'éclosion de l'âme de la marionnette ; ceci étant, la précision du mouvement harmonise le flux de la vie en rendant vivant ce qui au début n'est que vide autour de l'armature et du kimono des marionnettes. Un flux d'émotion remplit l'espace, créant ainsi une communion entre la scène et le public.
C'est le seul théâtre de marionnettes où le marionnettiste n'est pas caché du public, mais il disparait lors de la représentation tellement la marionnette, en harmonie avec le tayu et le shamisen, occupe le centre de l'attention .
En 2003, l'art de marionnettes traditionnel japonais du Bunraku fut ajouté à la liste du patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO comme un chef-d'œuvre du patrimoine oral et immatériel de l'humanité.
Cet Art aussi est à placer sur la même voie que les arts martiaux. Il est très codifié et différents niveaux de manipulations existent. Pour acquérir la maîtrise de cet art, des dizaines d'années sont nécessaires et l'on progresse toujours.
POUR EN SAVOIR PLUS SUR LE BUNRAKU,
VISITEZ CE SITE TRÈS COMPLET, EN CLIQUANT SUR L'IMAGE CI-DESSOUS.
sources
http://www.unesco.emb-japan.go.jp/htm/vf/focus_documents_sharing.htm
14/02/2014
PHOTOS DU STAGE DE BRUNO GONZALEZ DU 09/02/2014
Ce week-end a donc eu lieu le stage de Bruno Gonzalez, à Chatel-Guyon, en Auvergne, organisé par la ligue d'Auvergne d’Aïkido FFAAA.
Une soixantaine de pratiquants étaient là, et pendant 3h30, chacun a essayé de mettre en pratique les principes expliqués par Bruno Gonzalez. Des explications mises en correspondance avec la pratique du ken, afin de mieux saisir les notions de coupes et de délié dans l’exécution. Les notions de vigilance, d'intention soutenant chaque action, ainsi que l'attitude, droite et le regard toujours sur tori, car comment savoir où aller si l'on ne regarde pas ce qui se passe... principalement sur l'attaque chudan tsuki aujourd'hui.
Les clubs de MONTLUÇON ASPTT, COMMENTRY ET DESERTINES ont ainsi partagé ce moment .
CLIQUER SUR LES PHOTOS
liens pour d'autres photos du stage
Stage d'été à Rosheim (67). Variations sur ai hanmi katate dori et ushiro waza. Armes : katas bokken
Bruno Gonzalez et Fabrice Croizé Reportage
LIENS YOUTUBE POUR LES VIDÉOS DE BRUNO GONZALEZ
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13/02/2014
TROIS NOUVEAUX SHIHAN
communiqué de la FFAAA :
Infos du Japon février 2014
Le Doshu Ueshiba Moriteru vient de décerner le titre de Shihan à Frank Noël, Bernard Palmier et Patrick Bénézi.
En outre, lors du KAGAMI BIRAKI (cérémonie des vœux) le Doshu a également nommé Bernard Palmier et Patrick Bénézi au 7e dan.
Il a insisté pour leur remettre personnellement le diplôme correspondant, ce qui est un honneur exceptionnel.
La FFAAA adresse ses plus vives félicitations aux nouveaux Shihan et promus.
Tous les trois ont suivi l'enseignement de Maître YAMAGUCHI, entre autres.
Voici un extrait d'un fascicule rédigé par Maître Seigo YAMAGUCHI en complément d'un stage pour gradés animé à l'Aïkikaï de Tokyo en mars 1978.
(Traduction de Hiroko et Frank NOËL).
issu du site de Frank Noël
Seigo Yamaguchi, 8th dan, at the 1994 All-Japan Demonstration
Je vais parler des précautions les plus importantes pour pratiquer selon la Voie d'après les enseignements de O Senseï.
Ce qui m'a le plus profondément marqué est, en premier lieu, l'enseignement de la loi de " zen shin" (aller de l'avant) : si l'adversaire est grand, l'escalader et le franchir, c'est tout. Ce sont des mots simples mais qui ont une signification profonde qui expriment de façon authentique les fondements du Bu Jutsu sans être prisonnier des noms ou des détails des techniques une par une.
Ceci est véritablement la technique de la rencontre sur shomen (de aï), l'esprit de ikkyo et de irimi, sans doute. Aller de l'avant et rencontrer (atari) l'autre. De là naît la logique du cercle ainsi que le développement de la technique. Il faut bien comprendre que la logique de irimi-tenkan et du cercle ne correspond pas du tout à une esquive facile.
Ensuite, "rentre au contact avec ton ki". Il ne s'agit pas de rentrer à tort et à travers mais, s'il y a un contact effectif, il faut que cela soit au point que l'adversaire vole au loin. Et pour cela, il me semble important de concentrer sa force du ki dans le tanden (centre) et d'avoir un corps disponible sans raideur ni blocage et avec des pieds qui ne soient pas fixés. Cela m'évoque les mouvements rapides comme l'électricité et l'apparence impassible de O Senseï qui nous enseignait les techniques avec toujours des "tabi" aux pieds. Il était non seulement un génie du Bu jitsu, mais son esprit imperturbable et libre créèrent ces techniques divines. Et on peut comprendre que la technique suprême et variée qui consiste à rentrer avec le ki, mais qui en fait ne touche pas, soit sortie de manière évidente et spontanée.
Pour le ken et le yari, il est particulièrement important de rentrer avec le ki avec détermination et quasiment l'idée de se faire toucher: un sentiment d'aller pour se frapper mutuellement. S'il n'y a pas cela, irimi-tenkan est impossible sans doute.
Et en conclusion, je vous livrerai cet enseignement classique précieux: "là-même où on peut se faire couper, il y a un endroit où on ne peut pas être coupé".
12/02/2014
PHILIPPE GOUTTARD
Biographie extraite de son site sur ce lien.
Né en 1954, Philippe Gouttard a commencé l'aïkido à l'âge de 16 ans au Dojo du Portail Rouge sous la conduite de M. Blachon. C'est dans ce dojo qu'ont également débuté M. Pabiou et M. Cognard. Ce fut une époque où vinrent de nombreux experts.
Le premier cours de Philippe Gouttard est ainsi donné par Maître Tamura. Il effectue de très nombreux stages auprès des experts japonais (Maître Tamura, Maître Noro, Maître Kobayashi), aussi bien en France qu'à l'étranger. C'est durant les stages de Maître Noro qu'il fait la connaissance de Maître Asaiï qui enseigne en Allemagne. Cette rencontre est déterminante pour lui puisqu'il part suivre son enseignement en Allemagne durant 7 ans.
En 1978, une autre rencontre le mit sur les rails de son aïkido actuel : Christian Tissier, venu donner un stage à Saint-Étienne. Depuis ce jour, il n'a pas arrêté de le suivre et a constamment progressé à son contact. Il rencontra également Maître Yamaguchi qu'il retrouva régulièrement au Japon où il s'entraîne chaque année depuis le début des années 80. Là-bas, il a aussi suivi les cours de Maître Kisshomaru Ueshiba et de Maître Kisaburo Osawa. Si tous les trois sont aujourd'hui malheureusement décédés, le renouveau de l'enseignement à l'Aïkikaï de Tokyo lui donne toujours le même plaisir puisqu'il suit désormais les cours du nouveau Doshu, de Maître Seishiro Endo, de Maître Yasuno, et de tous les autres Maîtres de l'Aïkikaï.
Responsable technique de la région Rhône-Alpes pour la F.F.A.A.A. pendant 15 ans, Philippe Gouttard a reçu le sixième dan de la Fédération française, ainsi que celui de l'Aikikai des mains de Endo Shihan.
Il donne régulièrement des cours en France et à l'étranger : Suisse, Allemagne, Irlande, République Tchèque, États-Unis, Hollande, et dans les îles françaises loin de la métropole : la Réunion et la Martinique.
Il a formé de nombreuses ceintures noires : Luc Mathevet, 6ème dan, Cyril Lagrasta, 5ème dan et de nombreux autres gradés dans toute l'Europe.
Aujourd'hui, il continue sa vie de budoka, et possède un diplôme d'ostéopathie depuis 2007.
A LIRE CES ARTICLES DE GUILLAUME ERARD
Entretien avec Philippe Gouttard, 6e Dan Aïkikaï
Pratique à l'Aïkikaï avec Philippe Gouttard
DUBLIN 2007
02:07 Publié dans articles, Blog, liens, MAITRES & HAUTS GRADES, videos | Lien permanent | Imprimer | Facebook |
11/02/2014
APPLICATIONS DE CERTAINES TECHNIQUES DE BUDO RENSHU
Pour faire suite à BUDO RENSHU, il existe des vidéos montrant quelques unes de ces techniques, mais comme beaucoup de styles, il se peut qu'avec le temps certaines disparaissent de notre nomenclature ou du moins de notre culture générale.
Voici une vidéo reconstituant les techniques de budo renshu effectuée par des pratiquants de Kiev Dokokai Daitoryu aikijujutsu Takumakai... ce qui a dû prendre du temps afin de retrouver le bon mouvement. Tout d'abord, l'on voit l'original des dessins puis la technique. Bravo!
Idori (suwari wasa): 2, 3, 4, 9, 11, 14, 16, 18, 20, 21.
Hanzahandachi (hanmi handachi wasa): 23, 24, 25, 26, 33.
Tachiai (tachi wasa): 44, 46, 53, 58, 67, 71, 77, 89, 93, 111.
Ushirodori (ushiro wasa): 137, 147, 150, 155, 166.
Christopher Hein
10/02/2014
BUDO RENSHU Morihei Ueshiba 1933
Publié en 1933 à Tokyo, BUDO RENSHU nous montre les techniques du fondateur de l’Aïkido, comme elles étaient enseignées au Kobukan dojo entre 1931 et le début de la guerre du Pacifique. Les croquis de l'ouvrage sont de Takako Kunigoshi, qui fut une des rares disciples de O Senseï à cette époque. Elle a gagné le respect du fondateur par son sérieux dans la pratique. Kunigoshi Senseï était très respectée par ses collègues masculins du Kobukan. Au départ, ce n'était qu'un aide-mémoire pour elle-même, mais Morihei Ueshiba l'encouragea à aller plus loin et sous sa supervision, en apportant des suggestions et des corrections, l'ouvrage prit la forme définitive. Celui-ci était donné aux pratiquants qui avaient fait beaucoup de progrès aussi bien sur le plan technique que spirituel. Il exista peu d'exemplaires et le plus important réside dans les dessins puisque les explications étaient très succinctes.
Takako Kunigoshi & Shigemi Yonekawa 1935
Il fut réédité en 1998 en français sous le titre :
"TECHNIQUES DE BUDO EN AÏKIDO
BUDO RENSHU"
Dans la première partie, O Senseï nous livre des poèmes, inspirant pour le sens de la pratique puis il explique les différentes frappes et saisies et ensuite viennent quelques 166 techniques.
CLIQUER POUR AGRANDIR
A l'époque, l’Aïkido n'était pas encore né et les techniques de "BUDO RENSHU" étaient connues sous les noms de Daito ryu Aiki jutsu , Ueshiba ryu ju jutsu ou encore Kobu budo
MORIHEI UESHIBA
MORIHEI UESHIBA
SOURCE AÏKIDOJOURNAL, YOUTUBE, BUDO RENSHU
09/02/2014
CONTINUITE ET KAESHI WAZA
Un travail intéressant de continuité de l'action dans les kaeshi waza. Ce travail dans la ligne de Kobayashi Hirokazu Senseï élève de O Senseï est demandé souvent dans les passages Dan de cette école. Un travail de relâchement, de sensation afin de continuer l'action sans blocage.
Kobayashi Hirokazu
08/02/2014
NORO SENSEÏ... SUITE
Lire cet article tiré de Budo no Nayami, écrit par Léo Tamaki
Noro Masamichi, pionnier de l'Aïkido hors du Japon
Incroyable pratique du jo par Noro Senseï
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Hommage à Masamichi NORO Senseï par Daniel TOUTAIN
Noro Senseï vu par Stéphane Benedetti
Masamichi Noro: un homme en paix
INTERVIEW D'AIKIDOKA.FR
SON CHEMINEMENT
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Le Mouvement Universel du Ki. Article de Jean Paoli pour "Aïkido Magazine", revue de la FFAAA
CLIQUER SUR L'IMAGE POUR VOIR L'ARTICLE (PDF)
pour en savoir + sur le kinomichi voir le site officiel
09:15 Publié dans articles, Blog, liens, MAITRES & HAUTS GRADES, videos | Lien permanent | Imprimer | Facebook |