08/07/2014
MITSURU SOBUE
1943 | Naissance a Nagoya. | |
1964 | Inscription au club d’Aïkido de l’université d’études supérieures d’Aichi (Aichi Gakuin Daigaku). | |
1965 | Reçoit le 1er dan du fondateur Morihei Ueshiba. Devient le 3ème responsable des relations publiques du club. Participe à la rédaction des statuts de l’association des clubs universitaires d’Aïkido de la région Chubu. Départ pour les États-Unis de Mitsunari Kanai Shihan, envoyé par le Hombu Dojo pour enseigner à Nagoya. |
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1966 | Reçoit le 2ème dan du fondateur Morihei Ueshiba. Après avoir fini ses études, il continue l’entraînement à la section Aïkikaï de Nagoya, au YMCA Nagoya, ainsi qu’au club d’Aïkido du journal Asahi Shinbun. Départ pour l’Angleterre de Kazuo Chiba Shihan, envoyé par le Hombu Dojo pour enseigner à Nagoya. Sobue Shihan reçoit alors l’enseignement de Norihiko Ichihashi Shihan et de Nobuyuki Watanabe Shihan venus à Nagoya en remplacement. |
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1969 | Reçoit le 3ème dan du 2ème Doshu Kishomaru Ueshiba. Devient responsable de l’enseignement de la section Aïkikaï de Nagoya et du YMCA Nagoya. | |
1979 | Reçoit le 4ème dan du 2ème Doshu Kishomaru Ueshiba. | |
1982 | A partir de cette année il suit l’enseignement de Seigo Yamaguchi Shihan jusqu’à la mort de ce dernier. Il s’entraîne a l’université de Nagoya, l’université Meiji, au centre sportif de Nerima et au Zoshukan de Shibuya. | |
1984 | Devient co-administrateur de la section Aïkikaï de Nagoya. Préside la réunion annuelle des ceintures noires. | |
1985 | Reçoit le 5ème dan du 2ème Doshu Kishomaru Ueshiba. | |
1987 | Étudie le style de sabre “Yagyuu Shinkage ryu” auprès du 21ème soke, Nobuharu Yagyuu. | |
1990 | Afin d’étudier les techniques de Seigo Yamaguchi Shihan sur Nagoya, il crée l’association “Meirin-Juku” dont il est le représentant. Les entraînements ont lieu au centre sportif de Tsuyuhashi. | |
1993 | Reçoit le 6ème dan du 2ème Doshu Kishomaru Ueshiba. | |
1994 | Participe au séminaire spécialement organisé pour les 70 ans de Seigo Yamaguchi Shihan. | |
1996 | Après avoir enseigné au Hombu Dojo jusque dans ses derniers jours, Seigo Yamaguchi Shihan décède d’une maladie chronique qui s’est subitement aggravée. La même année, Sobue Senseï invite Seishiro Endo Shihan à Nagoya pour un séminaire de recherche qui sera organisé chaque année depuis lors. |
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1998 | Est nomme responsable de la section Aïkido de “L’Open Collège”de l’université d’études courtes Nagoya Bunka Tanki Daigaku où il enseigna 2 ans. | |
1998 | En août, il ouvre son Dojo “Meirin-Juku Dojo” au 3-8-8 kanayama, Nakaku Nagoyashi dont il est toujours responsable, avec pour objectif d’approfondir l’étude des techniques de Seigo Yamaguchi Shihan. | |
2005 | Reçoit le 7ème dan du 3ème Doshu Moriteru Ueshiba. |
tiré du site : http://aikido.or.tv/french_page/
Meirinjuku Summer Camp 2012
LIENS SUPPLÉMENTAIRES SUR MITSURU SOBUE
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07/07/2014
TAMURA SENSEÏ - INTERVIEW
Voilà un article d'Eric Grousilliat tiré de son site :
Budo Shugyosha 武道修行者
un site très intéressant avec des articles pointus et une réflexion sur la pratique des Arts Martiaux.
Cet article est consacré à TAMURA Nobuyoshi, son parcours, ses souvenirs... de même qu'O Senseï a fait évoluer sa pratique d'après guerre, Tamura Senseï a introduit dans sa pratique préparatoire des exercices de différentes disciplines bons pour lui.
Pour lire cet article, cliquer sur le lien ci-dessous :
"Tamura senseï, paroles précieuses"
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05/07/2014
Norihiko ICHIHASHI
Norihiko ICHIHASHI est né en 1940 à Tokyo. Il commence l'Aïkido en avril 1958 et intègre l'Hombu Dojo Aïkikaï au début des années 1960.
En tant que 4°Dan, il enseigne au camp militaire américain de Zama, qui regroupe les militaires américains et leurs familles.
Après le départ de Nobuyoshi TAMURA en France, il participe au journal "AIKIDO SHIMBUN" une newsletter publiée par l'Aïkikaï Hombu Dojo, qui relate les événements au sein du Dojo.
En 1965, il remplace Seiichi SUGANO, parti pour l'Australie, au Dojo de Tachikawa, puis Kazuo CHIBA, envoyé en Angleterre, au Dojo de Nagoya.
Son Aïkido bien que puissant utilisait un minimum d'efforts, ce qui attira beaucoup de pratiquants. Il fut un enseignant suivi du Hombu Dojo.
Norihiko ICHIHASHI décéda le 4 mars 2001.
Il était 8°Dan Shihan
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04/07/2014
JAPAN EXPO 2014
15ème ANNIVERSAIRE pour la Japan Expo, cette année une journée de plus de festival.
L'édition 2014 a débuté le 2 juillet et se terminera le dimanche 6 juillet.
Programme 2014
Au programme bien sûr jeux vidéos, mangas animés, concerts, cinéma, culture pop, traditions et arts martiaux entre autres... et bien sûr toutes les animations et initiations...
cliquer sur les liens sous les photos
Kyûdo
Kendô, iaidô, chanbara, naginata & jôdô
Karate-do
ET bien d'autres disciplines martiales...
MAIS AUSSI....
l’oshibana
l'Origami
ET AUSSI...
CLIQUER SUR LE LIEN POUR VOIR
toutes les animations
03/07/2014
EXPOSITION: Samouraï 1 000 ans d’histoire du Japon.
Samouraïs du domaine de Satsuma durant la guerre de Boshin
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Du 28 juin au 9 novembre 2014, une exposition célèbre les 1000 ans d'histoire du Japon à travers la castre guerrière des samouraïs.
Celle-ci se déroule à Nantes au Château des Ducs de Bretagne,
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Le samouraï et son code d'honneur fascinent toujours autant. Cette exposition répond aux attentes de la plupart, en retraçant son histoire, sa place et sa légende durant l'histoire du japon.
De nos jours encore, le célèbre "TRAITE DES CINQ ROUES " écrit par l'un des plus grand samouraï de l'histoire du Japon, Miyamoto Musashi, transcende la violence pour devenir une philosophie de vie et un traité d'application de la résolution du monde des affaires à travers l'esprit du katana...
source photo Exposition Samouraï - © Bernard Renoux/LVAN
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L'exposition rassemble près de 450 objets de l'armure du XVI siècle au manga contemporain. Ces objets, armures, casques, masques, kimonos, sabres, arcs, lances … mais aussi des objets précieux du quotidien, des sculptures religieuses, des textiles, des portraits de samouraïs, des documents d’histoire, etc. proviennent de nombreux musées et collections privées japonais et français, afin d'éclairer un peu plus notre imaginaire de ses valeureux hommes en temps de guerre comme en temps de paix.
Plusieurs ateliers sont proposés pour familles et enfants à partir de 5 ans comme fabriquer sa propre bannière, le « sashimono ».
02/07/2014
JEU DE GO
Originaire de Chine, ce jeu arriva au Japon au VIe siècle par l'intermédiaire du bouddhisme chan. Puis il effectua une ouverture vers l'Occident, mais ce n'est qu'à la fin du XXe siècle qu'il prit un essor mondial.
En Chine, on trouve les premières références écrites à un jeu qui pourrait être le go dans les Annales des Printemps et des Automnes (entre 722 et 481 av. J.-C.). Plus tard, Confucius (-551 – -479) mentionne le go dans ses Entretiens.
Jeu de go en Chine sous la dynastie Song, Xe siècle
Au Japon, les moines bouddhistes, auxquels on interdit la musique et les jeux de hasard, obtiennent le droit de jouer au go, qui n'est pas considéré comme un jeu de hasard.
Parmi les samouraïs, le jeu de go se développe comme entraînement à la stratégie militaire.
En 1578, le daimyo Oda Nobunaga invite à Edo le moine Nikkai, un joueur réputé, pour l'affronter. Impressionné par la force de Nikkai, il lui accorde le titre de Meijin (Maître) qui deviendra par la suite l'un des grades les plus prestigieux du monde du go. Nikkai est nommé instructeur d'Oda Nobunaga.
En 1590, Toyotomi Hideyoshi organisa le premier tournoi officiel pour désigner le plus fort joueur du pays. Honinbō Sansa – tel est le nouveau nom de Nikkai – remporte ce premier titre. Les autres joueurs sont alors classés par rangs, selon le système nouvellement créé des dan.
Un tryptique de Kuniyoshi (1843)
Les joueurs absorbés par le jeu n'ont que faire des esprits malfaisants venus les perturber.
Par Ieyasu Tokugawa en 1603, le go connaît un développement ininterrompu, qui dure plus de deux siècles et demi. Grâce à la protection du shogun, le go acquiert un statut officiel et devient une institution gouvernementale.
Une estampe de Kuniyoshi (1844)
Ce système de grade conduit à l’élévation du niveau du jeu japonais des deux plus grands joueurs de cette période, Honinbō Dōsaku et Honinbō Shūsaku, qui furent tous deux nommés Kisei (« saint du go »).
Honinbo Shusaku
Une partie de go se déroule sur un tablier, le goban, sur lequel est tracée une grille de 19 lignes horizontales par 19 lignes verticales, qui déterminent 361 intersections.
Chacun des deux joueurs place des pions noirs et blancs, appelés pierres, à tour de rôle, sur les intersections du goban.
Les pierres traditionnelles de luxe étaient en ardoise pour les pierres noires et en coquillage pour les pierres blanches. Aujourd'hui, le matériau le plus courant est le verre coloré, mais on en trouve en différentes autres matières : plastique, bois, mais aussi jade, agate et autres pierres semi-précieuses.
Les pierres sont conservées dans des bols, qui eux aussi vont du bois au matériaux précieux.
Depuis 1920, le temps de partie est limité et le décompte se fait avec une horloge identique aux pendules d'échecs.
Le but est de former des territoires, ensembles d'intersections vides contrôlés par le joueur. Noir commence en déposant sur la grille vide une pierre de sa couleur. Puis, à tour de rôle, les joueurs posent une nouvelle pierre sur une intersection vide du goban. Il est permis de passer son tour mais quand les deux joueurs passent consécutivement, la partie est terminée. Les pierres adjacentes de même couleur sont connectées et forment une chaîne. À la fin de la partie, il reste des pierres qui sont impossibles à capturer et qui ainsi délimitent des territoires. On compte un point par intersection libre dans chaque territoire et un point pour chaque prisonnier (pierre prise ou morte) capturé (habituellement, pour faciliter le décompte, les prisonniers sont placés dans le territoire de l'adversaire). Le vainqueur est celui qui obtient le plus de points.
Les compétitions de go sont composées principalement de tournois et de championnats. Des compétitions concernent spécialement les joueurs professionnels.
Malgré ses règles simples, le jeu de GO à un haut niveau révèle une grande richesse combinatoire et une profondeur stratégique liée à l'immensité des possibilités de l'esprit humain.
source wikipedia
Estampes japonaises et Go
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01/07/2014
Christian FOULON
Christian FOULON a commencé son parcours dans les Arts Martiaux en 1970 par le Judo.
En 1975, il est âgé de 15 ans quand il débute la pratique de l’Aïkido avec Alain Guerrier ainsi que le Karaté Shotokan.
C’est en 1982 qu’il décide de partir pour le Japon et il s’entraîne assidument durant 15 années à l’Aïkikaï de Tokyo avec à cette époque les grands Maîtres tels que Kisshomaru Ueshiba, Norihiko Ichihashi, Masando Sasaki, Seishiro Endo, Seigo Yamaguchi, Kisaburo Osawa, Nobuhiko Watanabe, Seijuro Masuda, Kenichi Shibata, Masatoshi Yasuno.
Au Japon, il s’intéresse aussi à d’autres disciplines comme le Karaté, s’entrainant au centre de Karatedo Shotokan de Tokyo. Il étudie également durant 5 ans les Arts internes chinois (Tai-chi, Xing yi et Bagua Zhang) avec Maitre Su Dong Chen.
C’est en 1986 qu’il découvre le Shintaïdo et sa rencontre avec le Maitre fondateur Hiroyuki Aoki lui permet une étude assidue de cette discipline. Il devient Professeur diplômé du centre de Shintaïdo de Tokyo où il a enseigné pendant 6 ans.
Il étudie par ailleurs des méthodes de soin du corps comme le Shiatsu et le Seitai.
A son retour en France, Christian s’est installé près de Toulon (83). Il a fondé plusieurs associations qui dispensent des cours de Shintaïdo et il continue d’enseigner l’Aïkido. Il retourne régulièrement au Japon pour parfaire ses connaissances.
Christian dirige de nombreux stages et séminaires en France pour le développement de ces pratiques.
tiré du site : http://www.tenchi-budokan.com/index.php?option=com_content&view=article&id=79&Itemid=110
Site : http://shintaido-toulon.spaces.live.com
Je n'ai pas trouvé de vidéo de Christian Foulon, afin d'avoir une vue de son travail en Aïkido, mais je sais qu'il a pratiqué et animé un stage avec Philippe Grangé en 2012 à Gradignan au Cercle d’Aïkido et de Taijiquan de Gradignan.
voir photos sur le site de Philippe Grangé :
http://aikido.artsinternes-phgrange.com/multimedia/
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30/06/2014
Jean-Luc FONTAINE
Jean-Luc FONTAINE, né le 5 mars 1948, était Professeur d’éducation Physique, 5°dan BE2 de Judo, avant de devenir 7° dan BE2 d’Aïkido au sein de la FFAB. Il pratiquait également le Iaïdo, 4°dan (BF2) et enfin le Kendo, 3°dan (BF2). Cet homme passionné d’Arts Martiaux, débute sa pratique de l’Aïkido en 1963. Enseignant émérite, il forme plus de 70 ceintures noires du 1er au 4ème dan.
DTR de l’UNA de 1978 à 1982, il deviendra responsable national de la FFAB de 1982 à 1990. Il assumera également le secrétariat de la Commission Spécialisée des Grades de la FFAB de 1984 à 1990. Il fut aussi : membre de la commission « haut niveau » de 1992 à 1999 ; membre des jurys des Brevets d’État (BE1 et BE2) de 1992 à 1996 ; membre de la commission « enfants » ; membre du Comité National des Grades (CNG) et de la Commission Spécialisée des Grades Aïkido (CSGA).
Depuis 1996, il était membre de la CCT, chargé d’enseignement national, (CEN), responsable des jurys d’examens de la FFAB. Il était, enfin, Membre de la Commission Technique Paritaire (CTP) de l’UFA et membre du Comité de réflexions et de propositions de la FFAB, au niveau de la région Midi-Pyrénées.
Shihan 6e Dan Aïkikaï - 7e Dan CSDGE -
Il est décédé le 8 Décembre 2012.
tiré du site : http://aikido-midipyrenees.org
Jean-Luc Fontaine
2008
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29/06/2014
MONT FUJI
Photo prise en avril 2012 du Mont Fuji Jiji Press/AFP/Archives
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Le mont Fuji est le symbole du Japon et a fourni une base spirituelle pour les Japonais depuis les temps anciens. Il revêt un caractère particulier pour le bouddhisme et le shintoïsme.
Le mont Fuji est situé dans le centre du Japon et de l'île principale de Honshū. Il s'élève à 3 776 mètres d'altitude au pic appelé Shin-Fuji.
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Il constitue ainsi le point culminant du Japon, visible les jours de beau temps de Tokyo situé à moins de 100 kilomètres au nord-est.
Le Mont Fuji dans la brume, triptyque de Chikanobu (1838-1912)
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C'est un volcan de forme conique de trente kilomètres à sa base. Le mont Fuji est un stratovolcan faisant partie de la ceinture de feu du Pacifique .
Le mont Fuji est actuellement classé actif avec un faible risque éruptif. La dernière éruption enregistrée a commencé le 16 décembre 1707 et s'est terminée autour du 24 février 1708, durant l'époque d'Edo.
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Une vue du mont Fuji perçant une mer de nuages. Avec ses 3 776 m d'altitude, il est le point culminant du Japon. © Joe Jones-Wikipédia
Il est bordé au Nord par les cinq lacs Fujigoko : le lac Motosu, le lac Shōji, le lac Sai, le lac Kawaguchi et le lac Yamanaka. De ces plans d'eau ainsi que du lac Ashi, s'offre une vue remarquable sur le volcan. À ses pieds, s'étend la forêt d'Aokigahara.
Le mont Fuji est inscrit sur la liste des biens culturels du patrimoine mondial de l'UNESCO en juin 2013.
Les Trente-six vues du mont Fuji
sont une série de 46 estampes réalisées par Katsushika Hokusai (1760-1849)
CLIQUER SUR L'ESTAMPE POUR ACCEDER
+LIENS LES CENTS VUES DU MONT FUJI
Katsushika HOKUSAI (1760-1849)
"One hundred views of Mt. Fuji - vol. I" - Illustrations
"One hundred views of Mt. Fuji - vol. II" - Illustrations
"One hundred views of Mt. Fuji - vol. III" - Illustrations
28/06/2014
KISABURO OSAWA II
Biographie de Kisaburo OSAWA
Il est devenu l'un des professeurs d'Aïkido les plus importants et les plus influents au cours des années 1950 à 1970, étant le directeur de l'Aïkikaï de nombreuses années jusqu'en 1986 quand il a été remplacé par le petit-fils de Morihei et présent doshu, Moriteru Ueshiba
Il avait le grade de 9ème dan
Son fils, Hayato Osawa (né en 1951), 7ème dan est actuellement un éminent shihan au Hombu Dojo
Sur la deuxième vidéo, on peut voir Endo Senseï ; c'est partiellement pour ce document que j'ai rajouté cette note. L'autre motivation est qu'il n'est jamais suffisant de parler des grands Maîtres ayant étudié avec O Senseï.Tellement sont déjà morts, plus le temps passe,que ces derniers vont ineluctablement rejoindre leur Maître. Si nous n'avons pas eu la chance de les côtoyer, au moins il est bon de les connaître, et de voir à travers les différents documents leurs opinions et leurs formes de retranscription de l'enseignement d'O Senseï.
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