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29/09/2013

JONATHAN LIVINGSTON LE GOELAND.....Richard Bach

 

Pourquoi parler de ce livre qui date de 1973 pour la version française ?

 

Simplement parce qu'il est une ode de la quête d'absolu.

N'est-ce pas de même pour notre discipline qu'est l'Aïkido ?

Ce  petit livre qui se lit en même pas une heure raconte la vie de Jonathan, un goéland, qui ne veut pas se contenter de manger, de ne prendre les airs que pour se nourrir mais qui veut par dessus tout parfaire sa science du vol. Ce qui le met en marge de son clan. Continuer à vivre pleinement son envie de trouver les limites et les dépasser, afin de parvenir à la perfection du geste (tiens ! Cela nous dit quelque chose !).

Durant sa quête il rencontrera Sullivan, son instructeur et ami qui l'aidera dans sa progression sur la voie du vol mais aussi son maître, Chiang, qui lui enseignera à voler par la pensée, le vol instantané mais surtout à aimer ses semblables.

 

De la même ampleur que le petit prince d'Antoine de Saint-Exupéry  et l'alchimiste de Paulo Coelho.

 

"Exigez la liberté comme un droit, soyez ce que vous voulez être, et le Paradis n'est pas un lieu où tu peux te rendre, non le Paradis, c'est la perfection en toute chose." Richard Bach

 

quelques extraits significatifs pour notre pratique:

« Mille années durant, nous avons joué des ailes et du bec pour ramasser des têtes de poisson, mais désormais nous avons une raison de vivre : apprendre, découvrir, être libres ! »


« Pour la plupart nous progressons si lentement ! Nous passons d'un monde dans un autre qui lui est identique, oubliant sur le champ d'où nous venons, peu soucieux de comprendre vers quoi nous sommes conduits, ne vivant que pour l'instant présent. As-tu idée du nombre de vies qu'il nous aura fallu vivre avant de soupçonner qu'il puisse y avoir mieux à faire dans l'existence que manger, ou se battre, ou bien conquérir le pouvoir aux dépens de la communauté ? Mille vies, Jon, dix mille ! Et cent autres vies avant que nous ne commencions à comprendre qu'il existe une chose qui se nomme perfection, et cent autres encore pour admettre que notre seule raison de vivre est de dégager cette perfection et de la proclamer.»


« N'apprenons rien et le prochain monde sera identique, avec les mêmes poids morts à soulever, les mêmes interdits à combattre...»


« Le paradis n'est pas un espace et ce n'est pas non plus une durée de temps. Le paradis, c'est simplement d'être soi-même parfait.»

« Pour voler à la vitesse de la pensée vers tout lieu existant, il te faut commencer par être convaincu que tu es déjà arrivé à destination...»

« Selon Chiang, la bonne méthode pour Jonathan consistait à cesser de se considérer lui-même comme pris au piège d'un corps limité par les trois dimensions... Le secret de Chiang ne pouvait résider que dans la conviction absolue que son être, aussi parfait qu'un nombre imaginé et pas encore transcrit en chiffres, était partout dans la durée et dans l'espace. »


« C'est alors que tu seras prêt à entreprendre le plus difficile, le plus puissant, le plus merveilleux de tous les exercices. Tu seras prêt à prendre ton vol pour aller là-haut connaitre le sens de la bonté et de l'amour...»


« Tu n’aimes ni la haine, ni le mal, c’est évident. Il faut t’efforcer à voir le Goéland véritable – celui qui est bon – en chacun de tes semblables et à les aider à le découvrir en eux-mêmes. »

 

11:15 Publié dans Blog, Livre | Lien permanent |  Imprimer |  Facebook |

27/09/2013

SUITE DEMO AGORA 2013

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A VENIR, PLUS DE PHOTOS DANS L'ALBUM AGORA II

20/09/2013

Mifune Kyuzo 10° DAN DE JUDO

 

Mifune Kyuzo, 10° dan, est l'un des plus grand Maîtres de judo de tous les temps.

Il commença au Kodokan avec Jigoro Kano, fondateur du judo moderne.

En 9 ans, il devient 6°dan et resta toujours invaincu en tournoi.

A 54 ans, Jigoro Kano le nomme 9°dan.

C'était un contemporain de Morihei Ueshiba.

      il obtint le 10° dan en 1945 à 62 ans.

Il meurt à l'âge de 81ans .         

 


 


 

autre lien vidéo

 

un autre

                                 

19/09/2013

Bokuden et ses trois fils #3

Cette histoire très connue est tirée pour ma part,  "des Contes et récits des arts martiaux de Chine et du Japon " (Albin Michel - 1984 )

 

 

Bokuden, grand Maître de sabre, reçut un jour la visite d'un confrère.

Pour présenter ses trois fils à son ami, et montrer le niveau qu'ils avaient atteint en suivant son enseignement, Bokuden prépara un petit stratagème : il cala un vase sur le coin d'une porte coulissante, de manière à ce qu'il tombe sur la tête de celui qui entrerait dans la pièce.

Tranquillement assis avec son ami, tous deux face à la porte, Bokuden appela son fils aîné.

Quand celui-ci se trouva devant la porte, il s'arrêta net. Après avoir entrebâillé la porte, il décrocha le vase avant d'entrer. Refermant la porte derrière lui, il replaça le vase avant d'aller saluer les deux Maîtres. " Voici mon fils aîné, dit Bokuden en souriant, il a déjà atteint un bon niveau et est en voie de devenir Maître."

Le second fils fut appelé. Il fit coulisser la porte et commença à entrer. Esquivant de justesse le vase qu'il faillit recevoir sur le crâne, il réussit à l'attraper au vol. " C'est mon second fils, expliqua-t-il à l'hôte, il a encore un long chemin à parcourir ".

Quand ce fut le tour du fils cadet, celui-ci entra précipitamment et reçut lourdement le vase sur le cou. Mais avant que le vase ne touche les tatamis, il dégaina son sabre et le cassa en deux. " Et celui-là, reprit le Maître, c'est mon fils cadet. C'est un peu la honte de la famille, mais il est encore jeune. "

 

autre lien sur Tsukahara Bokuden (1490-1572)(en anglais)

autre

15:45 Publié dans histoires | Lien permanent |  Imprimer |  Facebook |

18/09/2013

Les 7 samouraïs

 

les 7 samouraïs,

Ce film culte du cinéma japonais, tourné en 1954 par Akira Kurosawa, d'une durée de 3 h 26, retrace l'histoire de la résistance de paysans dans le japon médiéval du XVI° siècle, qui recrutèrent des samouraïs pour se protéger de bandits pillant régulièrement leur village.

Hollywood fera un remake du film en 1960 : "Les 7 mercenaires" de John Sturges.


Restauré en haute-définition, les 7 samouraïs sont ressortis dans les salles en juillet 2013.

Pour plus d'information sur le film suivre ce lien très complet

autres liens sur A Kurosawa

 

Je suis désolé, j'ai été obligé de supprimer les 5 extraits du film mais voici la bande d'annonce !


 

un petit peu plus

  trailer inédit ... 2

 


14:00 Publié dans Blog, Films, liens, videos | Lien permanent |  Imprimer |  Facebook |

Le tailleur de pierre

 

Le tailleur de pierre

Il était une fois...

Dans un pays lointain, vivait un homme qui depuis de longues années travaillait le roc et la pierre,
vivant dans la nature mais doutant de lui-même. Souvent il se lamentait sur son sort de tailleur de pierre.
Il voulait changer, sortir de sa condition, devenir riche et profiter de tous les plaisirs de la vie.


Un jour qu'il désespérait en taillant un bloc de pierre, celui-ci se brisa en deux et un génie s'en échappa.


Il fut surpris et eut un mouvement de recul.


Le génie le rassura et lui dit que, puisqu'il l'avait délivré, il pourrait lui demander ce qu'il voulait.


Le vieil homme n'en revenait pas ! Une fois sa surprise passée, il dit qu'il voulait devenir riche ;
l'instant d'après, il se retrouva dans un palais merveilleux dans une contrée fabuleuse.

Rien ne lui manquait,
il connut tous les plaisirs de la vie que pouvait lui procurer l'argent mais bientôt, il se dit que bien qu'immensément riche, il n'était pas le plus fort de tous les hommes.


Il fit le vœu et une nouvelle fois, le génie réalisa sa pensée : il devint l'homme le plus puissant de la terre.


Quelque temps après, il remarqua que le soleil se jouait de lui et que ce soleil était de loin le plus fort.
Lui qui était l'homme le plus puissant de la terre était obligé de se protéger des rayons brûlants du soleil.


Il décida donc de devenir soleil. Il rayonnait sur toute la terre et rien ne lui était supérieur,
ou du moins le pensait-il car peu à peu il se rendit compte que quelquefois ses rayons étaient arrêtés par les nuages.


Il en vint à se dire que les nuages étaient bien plus forts que lui et il devint nuage.
Il parvint à arrêter les rayons du soleil et se plaisait dans sa nouvelle condition.


Peu de temps après, il se rendit compte qu'il ne pouvait pas aller où bon il voulait car il dépendait du vent.

Le vent est bien plus fort que moi, se dit-il, et il devint vent.


Les hommes, le soleil, les nuages n'avaient aucun pouvoir sur lui, il se réjouissait de son état.

Un jour qu'il soufflait sur l'océan, il prit conscience de la force de l'eau et peu à peu, il devint persuadé que l'océan devait être bien plus puissant que lui.
Alors il devint océan, il balayait tout sur son passage quand il se mettait en colère, il battait le roc des falaises avec toute son énergie.


Ces falaises qui le narguaient, qui se jouaient de l'homme, du soleil, des nuages, du vent, de l'océan,
étaient-elles plus fortes que lui ? Il ne put supporter plus longtemps cela.


Il voulait la puissance immédiatement et ne supportait pas les rochers contre lesquels, bien qu'il le sache, il lui faudrait un temps infini pour les asservir. Il décida de changer, une fois encore et il devint la pierre et le roc.


Maintenant il rigolait intérieurement de tous ses ennemis, se disant qu'il était vraiment le plus fort, jusqu'au jour où il se sentit piqué, démangé, grignoté par quelque chose qui lui paraissait insaisissable.
Au fur et à mesure des jours il se sentait diminué, insensiblement mais diminué quand même.

Il ne pouvait supporter cela et il demanda une dernière faveur à son génie.
Transforme-moi en ce qui me ronge et qui est de plus en plus fort que moi.


Le génie s'exécuta et le transforma... en tailleur de pierre.

12:19 Publié dans histoires | Lien permanent |  Imprimer |  Facebook |

17/09/2013

Miyamoto Musashi - "Gorin-no-Sho" ou " traité des cinq roues "

 

Classique de la littérature japonaise, écrit par un des plus grand samouraï de l'histoire et de loin le plus connu, Miyamoto Musashi, le traité des cinq roues est encore aujourd'hui source d'inspiration dans la société japonaise qui applique les principes de " l'esprit des arts martiaux aux affaires du monde".

Miyamoto Musashi consacra toute sa vie à l'étude du kenjutsu, il créa le Niten-Ichi-Ryu utilisant les deux sabres, ce qui à l'époque était non conventionnel car on utilisait toujours le katana à deux mains, mais Musashi par son expérience des duels trouvait cela peu pratique dans un conflit avec plusieurs adversaires pour se protéger de coups venant de différentes directions simultanément. Il trouvait également un manque de fluidité en utilisant le katana à deux mains dans ces conditions particulières.

Musashi écrivit le Gorin-no-Sho à la fin de sa vie où il se retira dans une grotte sentant sa fin proche. Ce livre est aussi bien un traité de philosophie, de stratégie guerrière qu'un traité du maniement du ken.

ce site en lien sera beaucoup plus complet

 

autre lien explorant profondément le traité des cinq roues

 

                                                              aperçu vidéo


Les Samouraïs (arte)

 

LE SAMOURAÏ

Dans le Japon en proie à des guerres incessantes, apparut une caste légendaire, fidèle à un code d'honneur : le bushido ou voie du guerrier. Code fondé sur des valeurs morales comme la sagesse, le courage, la bienveillance et plus que tout, sur la fidélité au souverain, il réglait le comportement du guerrier sur le champ de bataille de façon à préserver sa maîtrise intérieure.

 

Seul les samouraïs étaient autorisés à porter les deux sabres, le katana et le wakizashi ; même la nuit, ils étaient à portée de main.

 

Depuis l'époque moderne, l'Empereur désireux de créer un Japon à l'image de l'Occident, ordonna aux samouraïs de déposer leurs sabres.



autre lien très intéressant et plus complet.


 

Maître  OTAKE   katori shinto ryu


 

Un autre reportage venant de la chaine PLANÈTE


12:54 Publié dans Films, videos | Lien permanent |  Imprimer |  Facebook |

15/09/2013

Chacun fixe ses priorités !... trouvé sur le web. Auteur ?

Le grillon

Un amérindien et son ami, en visite au centre ville de New York, marchaient
près de Times Square dans Manhattan. C'était durant l'heure du lunch et les
rues étaient bondées de monde. Les autos klaxonnaient de plus belle, les
autos taxis faisaient crisser leurs pneus sur les coins de rue, les sirènes
hurlaient et les bruits de la ville rendaient presque sourd.

Soudain,
l'amérindien dit : "J'entends un grillon."

Son ami répondit : "Quoi ? Tu dois être fou ! Tu ne pourrais jamais entendre
un grillon au milieu de tout ce vacarme !"
" Non, j'en suis sûr", dit l'amérindien, "j'entends un grillon."

L'amérindien écouta attentivement pendant un moment,
puis traversa la rue jusqu'à un gros planteur en ciment où poussaient quelques arbustes.
Il regarda à l'intérieur des arbustes, sous les branches et avec assurance, il localisa un
petit grillon. Son ami était complètement stupéfait.

"C'est incroyable", dit son ami. "Tu dois avoir des oreilles super-humaines !"
" Non", répondit l'amérindien.
" Mes oreilles ne sont pas différentes des tiennes.
Tout ça dépend de ce que tu cherches à entendre."

"Mais ça ne se peut pas !" dit l'ami. "Je ne pourrais jamais entendre un grillon dans ce bruit."
" Oui, c'est vrai," répliqua l'amérindien.
"Ça dépend de ce qui est vraiment important pour toi. Tiens, laisse-moi te le démontrer."

Il fouilla dans sa poche, en retira quelques sous et discrètement les jeta sur le trottoir.
Et alors, malgré le bruit de la rue bondée de monde retentissant encore dans leurs oreilles,
ils remarquèrent que toutes les têtes, jusqu'à une distance de sept mètres d'eux,
se tournaient et regardaient pour voir si la monnaie qui tintait sur le pavement était la leur.

"Tu vois ce que je veux dire?" demanda l'amérindien.

 

"Tout ça dépend de ce qui est important pour toi."

 

 

aïkido Montluçon asptt 03

 

16:49 Publié dans histoires | Lien permanent |  Imprimer |  Facebook |

Contes et récits des arts martiaux (Albin Michel 1981) #1

Entre les mains du destin


Un grand général, du nom de Nobunaga, avait pris la décision d'attaquer l'ennemi,
bien que ses troupes fussent largement inférieures en nombre.


Lui-même était sûr de vaincre, mais ses hommes, eux, n'y croyaient pas beaucoup.


En chemin, Nobunaga s'arrêta devant un sanctuaire shinto et déclara à ses guerriers :


" Je vais me recueillir et demander l'aide des kamis.
Ensuite, je jetterai une pièce. Si c'est face, nous vaincrons, mais si c'est pile, nous perdrons.
Nous sommes entre les mains du destin."


S’étant recueilli quelques instants, Nobunaga sortit du temple et jeta une pièce.


Chacun retint son souffle, elle tournoya dans les airs avant de tomber sur la tranche et de basculer sur face.


Le moral des troupes se regonfla à bloc.
Les guerriers fermement convaincus d'être victorieux,
combattirent avec une si extraordinaire intrépidité qu'ils gagnèrent rapidement la bataille.


Après la victoire, l'aide de camp du général lui dit : "Personne ne peut donc changer le cours du destin.
Cette victoire inespérée en est une nouvelle preuve.

- Qui sait ? répondit Nobunaga en lui montrant une pièce... truquée, qui avait une face de chaque côté.


aïkido Montluçon asptt 03

16:44 Publié dans histoires | Lien permanent |  Imprimer |  Facebook |