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06/02/2015

Stage Bernard Palmier ce week-end.

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 BIOGRAPHIE ET INTERVIEW

( ICI )

 

Stage ce dimanche 8 février 2015 à CHATEL-GUYON (63)

avec BERNARD PALMIER SHIHAN

stage bernard palmier.PNG

Bernard Palmier 2014

MELUN SEPTEMBRE 2014


 

18/02/2014

CRITERES D'EVALUATION 3° 4° Dan BERNARD PALMIER

Bernard Palmier a pris beaucoup de plaisir à enseigner ses techniques d’aïkido. - ADEFINIR Auteur


Tiré du site de Bernard Palmier

Essai de clarification des critères d’évaluation

aux 3ème et 4ème dan.

Pour un 3ème ou 4ème dan, la notion de fluidité peut être considérée comme un critère déterminant. La fluidité n’est pas un processus, mais un résultat. C’est la conséquence de la maîtrise et de la mise en œuvre dans la pratique des principes structurants de l’Aïkido... La notion de fluidité permet d’avoir une autre lecture des critères d’évaluation, une lecture plus adaptée aux 3ème et 4ème dan...

La fluidité peut se décliner de la façon suivante :

  • Liberté d’expression : connaissance et maîtrise du répertoire, variété et facilité dans la pratique.
  • Adaptabilité : pratique maîtrisée et contrôlée quel que soit le partenaire ; saisir les opportunités offertes par Uke (Henka waza)
  • Non-opposition : prendre et garder l’ascendant sur le partenaire sans jamais s’opposer à lui.
  • Puissance : imposer et maintenir un rythme à l’intérieur du mouvement, développer de la puissance sans mettre de force inutile (kokyu)
  • Permanence du contrôle dans la relation Uke /Tori : maintenir la saisie ou le contact pour rester en relation avec son partenaire. Raideur, blocage, choc, arrêt, rupture, saccade...vont à l’encontre de la "fluidité".

Le niveau d’exigence sera différent d’un grade à l’autre.

  • 1er dan : Reproduire des formes techniques, des schémas ; disposer des "outils constitutifs" de la pratique. La "fluidité" n’est pas demandée.
  • 2ème dan : manifester une compétence dans le maniement des outils ; commencer à introduire de la fluidité dans la construction des techniques : la fluidité est balbutiante. Il s’agit plus de coordination que de fluidité.
  • 3ème dan : le cadre de la fluidité est posé, les éléments sont en place, mais pas forcément maîtrisés.
  • 4ème dan : les éléments sont maîtrisés, la fluidité est accomplie.

    Autrement dit, la progression s’organise autour de "KATA / WAZA" :

    KATA, c’est la forme, la reproduction des schémas, l’acquisition des outils ;
     1er et 2ème dan
    WAZA, c’est l’application, sortir des schémas pour s’adapter aux situations
     3ème et 4ème dan

    Pour un 3ème ou 4ème dan, les trois critères d’évaluation peuvent être appréhendés à travers cette notion de fluidité :

1er critère : La connaissance formelle des techniques

  • aucune hésitation dans l’exécution des techniques demandées
  • une grande variété de techniques : techniques fondamentales, variations, variantes.

 FLUIDITE

2ème critère : La construction des techniques

  • distinguer les trois phases de construction pour les lier entre elles
  • exécuter des variations à partir des différentes façons de réaliser chaque phase (Henka waza)

     FLUIDITE

3ème critère : L’intégrité

On retrouve dans le 3ème critère tous les principes qui contribuent à développer la fluidité.

  • De aï : la façon de rencontrer le partenaire (pression, extension)
  • Ki musubi (être en phase avec son partenaire, permanence du contrôle)
  • Irimi (détermination, orientation, prise d’angle, contrôler le centre, l’intérieur)
  • Unité du corps, centrage (engager le corps dans le sens de l’action)
  • Ma aï : distance/temps pendant l’exécution. La distance juste : la distance dont on a besoin pour exécuter une technique en appliquant les principes d’Aïkido.
  • Ki nagare (conduire l’énergie, conduire le partenaire à partir d’un contact ou d’une saisie, en gardant l’unité du corps et en restant orienté sur le partenaire)
  • Principe d’économie, d’ergonomie du corps et de gestion de l’effort.
  • Zanshin : Continuité entre les techniques : présence, shisei, concentration
  • Metsuke : la vision, le regard
  • Reishiki : le respect de l’étiquette contribue à créer les conditions d’une pratique fluide (Connaissance du Reishiki : 1er critère / Respect du Reishiki : 3ème critère)

Bernard PALMIER

 

INTERCLUB BERNARD PALMIER ARNAUD WALTZ


 

 

Exemples de passage de grade 4°Dan



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13/02/2014

TROIS NOUVEAUX SHIHAN

communiqué de la FFAAA :

 

Infos du Japon février 2014

Le Doshu Ueshiba Moriteru vient de décerner le titre de Shihan à Frank Noël, Bernard Palmier et Patrick Bénézi.

En outre, lors du KAGAMI BIRAKI (cérémonie des vœux) le Doshu a également nommé Bernard Palmier et Patrick Bénézi au 7e dan.

Il a insisté pour leur remettre personnellement le diplôme correspondant, ce qui est un honneur exceptionnel.

La FFAAA adresse ses plus vives félicitations aux nouveaux Shihan et promus.

 

shihan2.PNG

Tous les trois ont suivi l'enseignement de Maître YAMAGUCHI, entre autres.

Voici  un extrait d'un fascicule rédigé par Maître Seigo YAMAGUCHI en complément d'un stage pour gradés animé à l'Aïkikaï de Tokyo en mars 1978.

(Traduction de Hiroko et Frank NOËL).

issu du site de Frank Noël

 

Seigo Yamaguchi, 8th dan, at the 1994 All-Japan Demonstration

Je vais parler des précautions les plus importantes pour pratiquer selon la Voie d'après les enseignements de O Senseï.

 

Ce qui m'a le plus profondément marqué est, en premier lieu, l'enseignement de la loi de " zen shin" (aller de l'avant) : si l'adversaire est grand, l'escalader et le franchir, c'est tout. Ce sont des mots simples mais qui ont une signification profonde qui expriment de façon authentique les fondements du Bu Jutsu sans être prisonnier des noms ou des détails des techniques une par une.

Ceci est véritablement la technique de la rencontre sur shomen (de aï), l'esprit de ikkyo et de irimi, sans doute. Aller de l'avant et rencontrer (atari) l'autre. De là naît la logique du cercle ainsi que le développement de la technique. Il faut bien comprendre que la logique de irimi-tenkan et du cercle ne correspond pas du tout à une esquive facile.

Ensuite, "rentre au contact avec ton ki". Il ne s'agit pas de rentrer à tort et à travers mais, s'il y a un contact effectif, il faut que cela soit au point que l'adversaire vole au loin. Et pour cela, il me semble important de concentrer sa force du ki dans le tanden (centre) et d'avoir un corps disponible sans raideur ni blocage et avec des pieds qui ne soient pas fixés. Cela m'évoque les mouvements rapides comme l'électricité et l'apparence impassible de O Senseï qui nous enseignait les techniques avec toujours des "tabi" aux pieds. Il était non seulement un génie du Bu jitsu, mais son esprit imperturbable et libre créèrent ces techniques divines. Et on peut comprendre que la technique suprême et variée qui consiste à rentrer avec le ki, mais qui en fait ne touche pas, soit sortie de manière évidente et spontanée.

Pour le ken et le yari, il est particulièrement important de rentrer avec le ki avec détermination et quasiment l'idée de se faire toucher: un sentiment d'aller pour se frapper mutuellement. S'il n'y a pas cela, irimi-tenkan est impossible sans doute.

Et en conclusion, je vous livrerai cet enseignement classique précieux: "là-même où on peut se faire couper, il y a un endroit où on ne peut pas être coupé".

 

Seigo YAMAGUCHI

Seigo Yamaguchi Tokyo Demo from 1988


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30/01/2014

BERNARD PALMIER

aikido montlucon asptt,bernard palmier



Bernard Palmier
Biographie de Bernard Palmier

Bernard Palmier a débuté l’Aïkido à treize ans avec Guy Lorenzi, élève de Maître Tadashi Abe.

A dix-huit ans, il découvre l’Aïkido de Maître Tamura et de Maître Noro. Il restera un élève assidu de l’Institut Noro à Paris pendant six ans. Lorsque Christian Tissier rentre du Japon, Bernard Palmier devient son élève. A son contact, il fait la connaissance de Maître Yamaguchi dont il sera le disciple pendant vingt ans.

A son tour Bernard Palmier part au Japon, il a vingt-six ans et il est deuxième dan. Il étudie pendant cinq ans avec tous les experts de l’Aïkikaï de Tokyo, mais plus particulièrement avec Maître Kishomaru Ueshiba (Doshu) et Maître Seigo Yamaguchi.

En 1982, il revient en France, il est 3ème dan. Tout en exerçant son métier de consultant en entreprise, il ouvre son Dojo et la Fédération Française d’Aïkido (FFAAA) lui confie la direction technique de la Ligue Ile de France. Il continue à pratiquer avec Christian Tissier, retourne régulièrement à l’Aïkikaï de Tokyo et suit scrupuleusement l’enseignement de Maître Yamaguchi.

Il obtient le 4ème dan, puis le 5ème dan par la FFAAA. Les grades Aïkikaï correspondant lui sont attribués par Maître Yamaguchi et Christian Tissier. En 1996, à quarante-six ans, il obtient le 6ème dan. Un an plus tard, par l’intermédiaire de Christian Tissier, il reçoit le grade Aïkikaï des mains du Doshu, Kishomaru Ueshiba Senseï.

Bernard Palmier met ses compétences pédagogiques au service de l’Aïkido et de la FFAAA. Depuis 25 ans, il contribue largement au développement de la formation continue des enseignants en organisant et en dirigeant des écoles de cadres, en co-animant avec Franck Noël (7ème dan) les stages nationaux d’enseignants.

Depuis quelques années, Frank Noël a laissé sa place à Arnaud Waltz.


Le 1er septembre 2007, la Commission Nationale des grades lui décerne le 7ème Dan. En 2008, Bernard Palmier est nommé Président du Collège Technique National...

A compter de cette année, il laisse sa place de DTR de la Ligue d’Ile de France à MARE SEYE.

 dernière minute :

L'AÏKIKAÏ DE TOKYO VIENT DE DÉCERNER LE 7 °DAN AÏKIKAÏ ET LE TITRE DE SHIHAN A BERNARD PALMIER.


 

Interview de Bernard Palmier par Léo Tamaki en cliquant sur la photo ci-dessous

NAMT 2010: Bernard Palmier, 7° dan d'Aïkido



site de bernard palmier dont est tirée la biographie

 

Tous les ans, il anime un stage d'été à Autrans, depuis plus de trente ans.

 


21/01/2014

la relation uke/tori par Bernard Palmier

Voir son site  sur le lien en cliquant sur son image


La relation Uke / Tori

On parle souvent de l’Aïkido en disant ce qu’il n’est pas, en le comparant à d’autres arts martiaux ou à des sports de combat. On ne sait pas toujours présenter notre discipline dans ce qu’elle a de particulier. La relation Uke / Tori est une des caractéristiques, des particularités de l’Aïkido. A ce titre, elle mérite d’être explicitée. Bien sûr, cette relation se vit ; elle peut difficilement être présentée de façon exhaustive sur le papier. Pour autant cette fiche a pour propos de donner aux enseignants ou futurs enseignants quelques éléments qui leur permettront :

• de mieux orienter leurs consignes pour cadrer cette relation sur le tapis ;

• d’avoir quelques pistes pour organiser la pratique autour de ce thème.

La relation Uke / Tori se fonde sur 3 postulats de base.


1er postulat : Les principes d’aïkido s’appliquent et se développent dans le travail de Uke.
Uke « fait aussi de l’Aïkido ». Les compétences que le pratiquant développe dans son travail de Uke sont transférables et lui permettent de progresser en tant que Tori. Dans le travail de Uke on retrouve des principes tels que la construction, l’unité du corps, plus largement l’intégrité, le ma aï etc... La pratique de l’Aïkido ne réside pas uniquement dans le fait de savoir faire les techniques, mais plutôt de « vivre » les techniques. Connaître une technique c’est la vivre en tant que Tori et en tant que Uke. Expérimenter Ikkyo, par exemple, c’est à la fois exécuter la technique en appliquant les principes mais c’est aussi ressentir en tant que Uke l’application de ces principes.

2ème postulat : Dans la pratique les rôles s’inversent, se confondent parfois.
Exemple : par un atémi au visage, Tori sollicite Uke. Celui-ci répond par une saisie en katate ryote dori ou par une saisie arrière. Dans cette situation, qui est Uke qui est Tori ? Quand Tori sollicite au visage, il attaque et pour Uke katate ryote dori devient une technique. Cette façon d’aborder la relation Uke/Tori redonne du sens aux attaques et en particulier aux saisies. Bien évidemment les rôles s’inversent dans les Kaeshi waza. Uke peut exploiter les ouvertures ou les failles d’une technique et prendre l’ascendant sur Tori.

3ème postulat : La relation Uke/Tori s’inscrit dans une dimension de « coopération ».
Parler de coopération dans le cadre d’un art martial peut paraître surprenant. Pour autant la coopération dans la pratique de l’Aïkido ne signifie pas « complaisance », bien au contraire la coopération dont on parle s’appuie sur l’exigence et le respect. Il s’agit par l’échange de progresser mutuellement. La question pour Uke et Tori est de savoir où mettre la barre pour faire progresser l’autre sans le blesser. La pratique permet de développer une stratégie « gagnant/gagnant ». Personne ne perd, surtout pas Uke qui par la maîtrise de son comportement et des ukemis, chute et se relève pour attaquer à nouveau. Uke et Tori ne sont pas face à face dans un affrontement, mais plutôt côte à côte confrontés à une situation qu’il faut gérer ensemble et dont il faut sortir grandis et bonifiés.

La relation Uke/Tori met en évidence un certain nombre de principes structurants de l’Aïkido. Sur le plan mental (Shin), on peut en évoquer au moins trois :
Le respect de l’intégrité : ce principe transparaît dans les postulats évoqués précédemment, en particulier dans le 3ème, la « coopération ». La pratique se fonde sur un respect mutuel et doit permettre de « préserver et de renforcer l’intégrité au sens large (physique et mentale) des protagonistes ».

L’adaptabilité : principe qui se caractérise par l’écoute et la prise en compte de l’autre ; c’est sans doute la condition du respect de l’intégrité mais aussi la condition de l’authenticité dans la relation. Tori doit adapter son comportement (choix de la technique et/ou façon de l’exécuter) à Uke (son attaque, son niveau, ses capacités). En retour Uke, doit être le « miroir » du comportement de Tori. C’est le sens de la pratique de base qu’on appelle « Ippan geiko ». Il faut que les comportements de Uke soient juste la conséquence de la pratique de Tori, sans anticipations, sans gestes parasites...
La non-opposition/la non-violence : là aussi, parler de non violence pour un art martial peut paraître surprenant à certains. Pourtant l’Aïkido prône la « clémence » et plus la « persuasion » que la « dissuasion ». Quoi qu’il en soit la non violence ne se fonde pas sur la faiblesse. C’est parce que l’on peut être définitif à un moment ou un autre de la technique que l’on choisit de ne pas l’être et par exemple d’amener au sol en immobilisant ou de donner à Uke la possibilité de chuter.
Ces principes qui relèvent du mental se manifestent dans la relation Uke/Tori à travers l’application de principes techniques. On peut aussi en évoquer au moins trois :
La notion de « Ki musubi » (le nœud des énergies) : être en phase avec le partenaire. La non-opposition en dépend. C’est le choix du mode de rencontre (de aï) qui permettra d’être en phase avec le partenaire : aller dans la distance du partenaire sans la subir (pression) ou amener Uke dans sa propre distance (extension).
La fluidité : principe plus large, conséquence de l’application d’autres principes (centrage/unité du corps, Ki musubi, irimi/direction/prise d’angle...). Cette fluidité se caractérise principalement par un contrôle permanent de part et d’autre (Uke /Tori) pour préserver l’intégrité et donner du sens à la pratique :
• contrôle qui s’exerce dans la mobilité (Ki nagare), conduire le partenaire sur une saisie ou un contact.
• contrôle qui s’exerce plus simplement (par exemple) dans le fait de sortir d’une saisie pour la remplacer par un contact en évitant les ruptures.
Action/réaction : principe technique qui s’appuie sur la prise en compte de l’autre, l’écoute et l’adaptabilité et qui s’exprimera :
• pour Tori dans le Henka waza (variations et enchaînements)
• pour Uke dans le Kaeshi waza (retourner la situation, Uke devient Tori)

Cette façon d’appréhender la relation Uke / Tori n’est qu’une vision parmi d’autres, on aurait pu dire sans doute bien d’autres choses ou le dire autrement.

En résumé, la relation Uke/Tori :
• 3 postulats
• 3 principes sur le plan mental
• 3 principes sur le plan technique

Bernard PALMIER

 


 

 

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07/01/2014

KAESHI WAZA

 

Voilà un moment que je voulais faire un article sur ce sujet.

En consultant le web, je suis tombé sur plusieurs articles très intéressants que je vous fais partager.

Le but de ce blog étant plus de susciter une envie d'aller plus loin dans la recherche d'informations, souvent je lance un sujet avec des liens, et à vous de vous faire votre propre opinion !

Voilà aussi pourquoi, pour l'instant, il n'y a pas de possibilité de déposer des commentaires.

Écrire sur un sujet demande un investissement énorme, alors je préfère vous faire partager ceux-ci, qui sont nettement plus brillants que ceux que je pourrais vous proposer.

 

 

Le premier article :

 

Kaeshi Waza : de la contre-technique au retournement-technique

 

est tiré du site d'Alexandre Grzeg, plusieurs fois mentionné dans ce blog.

 

 
 
 
 
le deuxième est un article de Bernard Palmier :
 
Kaeshi Waza ou le retournement de situation
 
 
 
 
Ici, Pascal Durchon explique  le Kaeshi Waza :
 

 
 
 
 
 

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